Doù insomnie (5h de sommeil par nuit!) et fortes bouffées de chaleur. On a baissé le Lévo à 100, les choses se sont un peu améliorées: TSH à 0,05. On a encore baissé et donc maintenant, avec la TSH à 0,07, je me sens très bien. ChersAmis de la Santé. Cette semaine ce sont les surrénales qui vous parlent. Elles sont petites et leur nom vous dit déjà où elles se situent : sur-rénales, au-dessus des reins. L’hypophyse vous a parlé, puis la thyroïde avec deux lettres. Elles sont sur mon site. Vous pouvez les recevoir gratuitement en vous inscrivant sur mon site. Bouffées de chaleurs (vapeurs) • Modifications urogénitales • Modifications du comportement sexuel • Modifications psychologiques La diminution de la fertilité. Vers l'âge de 37 ans, le taux de fertilité commence à baisser progressivement et le risque de fausse couche et de grossesse à risque augmente sensiblement. Il en va de sSCF. Skip to content Pour les PatientsPour les Professionnels PraticiensÉditeurs & MutuellesBlogConsultez maintenantHellocare Vet[ Déjà Patient ][ Connexion Patients ]Consultez maintenantBlog SantéPour les ProfessionnelsHellocare Vet Comment soulager et prévenir les bouffées de chaleur Comment soulager et prévenir les bouffées de chaleur Médecins disponibles pour des consultations en vidéo sécurisées. Remboursable par l’Assurance Maladie. PRENDRE RDVQu’elle vous envahisse ou que vous en soyez avertie, la ménopause est une réalité. Deux des plaintes les plus courantes concernant la ménopause sont les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes. Ce symptôme inconfortable affecte environ les trois quarts des femmes en pré-ménopause la période précédant la ménopause réelle. Une fois que la femme a atteint la ménopause, elle peut continuer d’avoir des symptômes pendant 6 mois à 5 ans, et chez certaines femmes, elles peuvent persister pendant 10 ans ou même plus. Est-il possible de prévenir les bouffées de chaleur et comment les soulager ? Qu’est ce qu’une bouffée de chaleur ?Une bouffée de chaleur est une sensation de chaleur intense, non causée par des sources externes. Les bouffées de chaleur peuvent apparaître soudainement ou vous pouvez les sentir apparaître. Ainsi, vous pouvez transpirer, notamment dans le haut du corps, ressentir des picotements dans les doigts, votre cœur qui bat plus vite que d’habitude, ainsi qu’une sensation de chaleur sur votre peau. Lorsqu’elles surviennent pendant que vous dormez, elles sont appelées sueurs nocturnes. Elles peuvent vous réveiller et vous empêcher de vous reposer suffisamment. Combien de temps durent-elles ?Environ 2 femmes sur 10 n’ont jamais de bouffées de chaleur. D’autres peuvent en avoir pendant 11 ans ou plus. En moyenne, cependant, les femmes ont des bouffées de chaleur ou des sueurs nocturnes pendant environ 7 ans. Certaines bouffées de chaleur passent après quelques secondes, tandis qu’une longue bouffée de chaleur peut durer plus de 10 minutes. En moyenne, elles durent environ quatre minutes. Leur fréquence varie également. Certaines femmes éprouvent quelques bouffées de chaleur par semaine, tandis que d’autres peuvent en avoir plusieurs par heure. Heureusement, il existe une gamme de traitements et d’habitudes à prendre qui peuvent aider à réduire les symptômes ainsi que la fréquence de vos bouffées de chaleur. Quelles en sont les causes ?Nous ne savons pas exactement ce qui cause les bouffées de chaleur. Il est clair qu’elles résultent de changements hormonaux dans le corps. Leur lien avec d’autres problèmes de santé, comme le diabète et l’obésité, est également à l’étude. Les déclencheurs de chaque femme peuvent être un peu différents, mais certains sont courants. La consommation d’alcool, de tabac, de caféine et d’aliments épicés peuvent entraîner des bouffées de chaleur. Le port de vêtements serrés, ainsi que l’anxiété et le stress, sont également des déclencheurs chez certaines femmes. Il est intéressant de tenir un journal de vos symptômes et déclencheurs. Notez ce que vous faisiez, mangiez, buviez, ressentiez ou portiez lorsque chaque bouffée de chaleur a commencé. Après plusieurs semaines, vous pouvez commencer à voir un schéma qui peut vous aider à éviter des déclencheurs spécifiques. Comment soulager les bouffées de chaleur ?Certaines femmes sont capables de gérer et de soulager les bouffées de chaleur avec des outils simples. Voici quelques techniques s’habiller en plusieurs couches, même les jours les plus froids, afin que vous puissiez ajuster vos vêtements à la façon dont vous vous sentez siroter de l’eau glacée au début d’une bouffée de chaleur porter des vêtements de nuit en coton et utiliser des draps en coton garder une compresse froide sur votre table de chevet Bien que les études médicales n’aient pas confirmé leur efficacité pour soulager les bouffées de chaleur, certaines femmes trouvent certains produits à base de plantes utiles. L’actée à grappes noires L’OMS Organisation Mondiale de la Santé reconnait l’efficacité de l’actée à grappe contre les symptômes de la ménopause. Le trèfle rouge Des chercheurs, qui ont observé que le trèfle rouge renfermait le même type de molécules que le soja, ont émis l’hypothèse qu’un extrait riche en isoflavones pourrait soulager certains des symptômes de la ménopause. Le dong quai ou angélique chinoise » Riche en phyto-oestrogénes, il est conseillé pour soulager les bouffées de chaleur. Le soja cet aliment possède la capacité de réguler le trouble hormonal afférent à la ménopause. Il est important de vérifier auprès de votre médecin avant de prendre l’un de ces produits. Certains sont déconseillés dans certains cas et peuvent interférer aggraver les troubles. Comment éviter les bouffées de chaleur ?Aucun traitement n’est garanti pour éviter les bouffées de chaleur, mais il existe des options qui peuvent vous aider à gérer vos symptômes. L’objectif du traitement est généralement de réduire la gravité et la fréquence des bouffées. Vous pouvez envisager des changements de mode de vie, une hormonothérapie substitutive, des médicaments sur ordonnance ou des thérapies alternatives. Tout comme il n’y a pas deux femmes semblables, les réactions de leur corps au traitement ne le sont pas non plus. Parler à votre médecin peut vous aider à décider de la meilleure approche pour éviter vos bouffées de chaleur. Changer son mode de vieUn mode de vie sain peut réduire l’incidence et la gravité des bouffées de chaleur et aider à réduire le risque de maladie cardiaque et d’ostéoporose. Vous pouvez commencer par rétablir un équilibre au niveau de votre alimentation, faire régulièrement du sport et arrêter de fumer. Les thérapies alternatives pour éviter les bouffées de chaleurL’acupuncture peut être utile, sans les effets secondaires des médicaments. Une étude publiée en 2011 a révélé que les femmes qui suivaient un traitement d’acupuncture avaient beaucoup moins de symptômes de ménopause, y compris les bouffées de chaleur, que celles qui avaient des traitements simulés. La méditation peut également être très efficace pour aider à gérer les niveaux de stress. Le stress est un déclencheur de bouffées de chaleur courant pour de nombreuses femmes. Vous pouvez également suivre quelques réflexes simples pour mieux gérer le stress et l’anxiété. Hormonothérapie substitutive HTSLa popularité de l’hormonothérapie substitutive, également appelée traitement hormonal de la ménopause THM, n’a cessé de croître au fil des ans. Le traitement avec des hormones synthétiques peut être une option pour certaines femmes dont les bouffées de chaleur affectent considérablement la qualité de leur vie. Ce traitement permet de remplacer les hormones œstrogène et/ou progestérone qui ne sont plus produites naturellement. Les suppléments d’oestrogène nivellent la quantité d’oestrogène dans votre système, réduisant l’incidence et la gravité des bouffées de chaleur et des sueurs nocturnes. L’œstrogène peut être pris sous forme de pilule, à travers une crème ou un gel vaginal, ou un patch. Partagez cet article ! Related Posts Pour certaines femmes, la période entourant la ménopause est une période difficile à traverser. Les symptômes tels que les bouffées de chaleur et l’insomnie peuvent affecter la qualité de vie. Les plantes utilisées en herboristerie et en naturopathie peuvent permettre de soulager la plupart des symptômes de la ménopause. La valse hormonale de la ménopause Les changements hormonaux de la préménopause, périménopause et ménopause sont tout à fait normaux et purement physiologiques ; ils peuvent débuter graduellement aussitôt qu’à la mi-trentaine. La périménopause toute la période précédant la ménopause inclut la préménopause, mais pour ce texte j’utiliserai ces termes de façon interchangeable. Les années précédant la ménopause sont marquées par une baisse de progestérone tandis que les œstrogènes restent stables et parfois augmentent. Beaucoup des symptômes durant cette période sont causés par une baisse du taux de progestérone par rapport à l’œstrogène. En d’autres termes, l’équilibre fragile œstrogène/progestérone est rompu. Les symptomes entourant la ménopause Quoique normale, cette période peut parfois être très difficile à vivre pour certaines femmes. Dès le début de la quarantaine, il est fréquent de voir s’installer différents déséquilibres associés à une baisse de progestérone et une prédominance en œstrogène fibromessyndromes prémenstruels irritabilité, fatigue, dépression, douleurs et tensions mammaires, œdème, maux de têteproblèmes de fertilité certains cycles sont anovulatoirestroubles du sommeil comme l’insomnietrouble de l’humeurprise de poidsdifficulté de concentration La ménopause correspond à un arrêt du fonctionnement des ovaires et un arrêt des menstruations. Les ovaires diminuent la production d’œstrogène. Il y a encore de l’œstrogène de produit, mais en plus petite quantité et par d’autres parties du corps. Naturellement, cette période se situe entre 45 et 58 ans. La femme est dite ménopausée 12 mois après l’arrêt des règles. Durant cette période, nous observons des symptômes de baisse d’œstrogène comme bouffées de chaleursueurs nocturnesinsomniesécheresse vaginalebaisse d’énergiedépressiontroubles de l’humeurmaux de têteinfections urinaires fréquentesincontinence urinaireinfections vaginales fréquentes Rassurez-vous, le recours aux plantes médicinales peut aider à passer à travers cette transition hormonale de façon plus harmonieuse. N’hésitez pas à me contacter pour voir ce que l’herboristerie peut faire pour vous. Qui a décidé un jour que les femmes ont besoin d’utiliser des hormones de remplacement pour traverser la ménopause ? Le corps est merveilleusement conçu. Tout est prévu ! Encore faut-t-il lui donner un petit coup de main. Les glandes surrénales et la préménopause Constamment sollicitées et dans l’activité, nous vivons souvent au-dessus de nos capacités le travail occupe nettement une plus grande place que le plaisir et la détente. La société dans laquelle nous vivons et les modes de vie que nous adoptons sollicitent constamment nos glandes surrénales, qui sont les glandes de la survie. Dès qu’il y a du stress, elles sont impliquées. À l’aube de la quarantaine, si nos surrénales ne sont pas trop épuisées, elles sauront remplir leurs rôles et continuer la production d’hormones féminines. Puisqu’elles prendront une partie de la relève dans la sécrétion des hormones sexuelles, il est important de ménager et de nourrir ses glandes surrénales. Voici quelques symptômes qui peuvent être liées à un déséquilibre voir même un épuisement des glandes surrénales, selon le Docteur John R. Lee Baisse du métabolisme basal liée à une hypothyroïdie, diagnostiquée ou nonHypotensionTaches brunes sur la peauAllergies et /ou asthmeFaible résistance aux infectionsCycles menstruels irréguliers, seins fibrokystiques, cycles anovulatoires, infertilitéFatigue constanteTendance à la dépressionIrritabilité Heureusement, plusieurs plantes médicinales pourront supporter et équilibrer les glandes surrénales durant la période entourant la ménopause. Les plantes pour la préménopause et la ménopause Les adaptogènes Lorsqu’elles sont choisies judicieusement et prises en dosage adéquat, ces plantes médicinales sont sans risque pour la santé. Elles seront à prioriser pour leurs actions sur les glandes surrénales. Elles ont la capacité d’agir en augmentant notre résistance face au stress de façon général, qu’il soit physique ou psychologique. Elles agissent aussi comme des régulateurs hormonaux. Pour la médecine chinoise, ce sont les plantes toniques. Les plantes adaptogènes toniques ne visent pas à traiter des maladies spécifiques mais plutôt à promouvoir un bien-être et meilleure une santé globale. Ce sont toutes des plantes qui habituellement doivent être prise sur de longue période minimun 1mois pour avoir un effet durable. Elles sont habituellement utilisées en combinaison avec d’autres plantes. Elles peuvent être utilisées en extrait sous forme de capsules, en teinture ou en décoction. Voici quelques plantes adaptogènes que je trouve particulièrement intéressantes pour soutenir la préménopause et la ménopause durant cette période de transition. Schizandra Schizandra sinensis Les fruits mûrs sont utilisés depuis longtemps en médecine chinoise. Les Chinois le nomment Wu wei zi ce qui veut dire cinq saveurs» acide, amer, doux, piquant, salé. Excellents en période de ménopause, il est dit qu’ils possèdent l’essence des cinq énergies Bois, Feu, Terre, Métal, Eau. Le schizandra s’est démontré efficace lors d’une étude clinique chez des femmes en préménopause. Les symptômes soulagés étaient les bouffées de chaleur et la transpiration ainsi que les palpitations cardiaques. Eleuthero Eleutherococcus senticosus Son autre appellation le Ginseng sibérien, est erronée. Notez bien que nous n’avons pas ici affaire à un réel ginseng, même si l’eleuthero fait partie de la même famille botanique. Plusieurs études se sont intéressées à la racine d’éleuthéro pour démontrer son efficacité à augmenter la résistance face à différents types de stress. Très utile lors de fatigue chronique, d’épuisement, en période de convalescence ou dans tous les cas où il y un besoin accru d’énergie physique ou mentale. Il améliore l’utilisation et l’absorption de l’oxygène par le corps. De plus, on lui attribue les propriétés suivantes immunomodulateur, régulateur de la tension artérielle, anabolisant augmentation de la masse musculaire, sans effets androgéniques. Il augmente le niveau d’énergie rapidement mais aussi à long terme effet cumulatif. Maca Lepidium meyenii En plus d’aider pour les bouffées de chaleurs, la racine du maca est utilisée pour augmenter la libido et favoriser la fertilité. Je la conseille aussi pour augmenter l’énergie, dans les cas de fatigue. Selon certains auteurs, il augmenterait le taux de DHEA. La maca est surtout employée en poudre, mais plusieurs aiment aussi utiliser les capsule et la teinture. Autres plantes adaptogènes pour la ménopause Ashwagandha Whitania somnifera Elle augmente le niveau d’hormone thyroïdienne et est utilisée contre l’hypothyroïdie, l’insomnie et l’anxiété. La racine et les feuilles sont Codonopsis pilosula Utilisé surtout en médecine chinoise sous le nom de Dang Shen, il agit sur les fonctions des systèmes Rate et Poumon. Il est aussi un excellent tonique du Sang et du système immunitaire. Nous l’utilisons entre autre dans les cas de fatigue accompagnés de troubles nord-américain Panax quinquefolius Son utilisation est similaire au codonopsis. Un incontournable en cas de fatigue. Le vitex Vitex agnus castus Aussi connu sous le nom de gattilier, ses fruits sont employés dans les traitements naturels, surtout durant la période précédant la ménopause. Elle travaille essentiellement sur les syndromes prémenstruels, les tensions mammaires mastalgie, douleurs aux seins. Elle est surtout employée sous forme de teinture ou de capsules. Elle peut être prise à partir du 10e jour du cycle jusqu’au déclenchement des règles. Les plantes contre les bouffées de chaleurs et sueurs nocturnes Plusieurs produits naturels et plantes médicinales sont utilisés comme remède dans le traitement des chaleurs de la ménopause. Schizandra Schizandra sinensis, cité plus hautActée à grappe noire Actaea racemosa, ancien nom Cimicifuga racemosa En plus des bouffées de la chaleur, elle agit positivement dans la dépression, la nervosité et les douleurs articulaires. Pour en savoir plus sur son fonctionnement, vous pouvez lire la monographie à se sujet sur le site internet de Flora de lin moulues Elles contiennent des phytoestrogènes très bénéfiques pour la femme en ménopause. Le dosage est d’environ 1/3 de tasse par jour saupoudré sur les aliments ou dans les breuvages. Il est conseillé de débuter graduellement afin que le système digestif s’habitue aux fibres. Plusieurs produits naturels incluant les plantes utilisées en herboristerie et en naturopathie peuvent être efficaces pour toutes sortes de symptômes associés à la ménopause. Parlez-en à votre herboriste thérapeute accréditée pour voir celles qui peuvent être appropriées pour vous. Ménopause harmonieuse Ainsi, pour accomplir ce réajustement hormonal lié à la ménopause, plusieurs mécanismes sont mis en place, dont certains sont encore inconnus. Ce qu’il faut retenir, c’est que l’organisme féminin est parfaitement équipé, possède plusieurs ressources pour traverser cette période, à condition qu’on en ait pris soin. N’oublions pas que toute cette valse hormonale est un processus normal et non une maladie à traiter. Le corps saura produire les hormones dont il a besoin tout au long de sa vie. Le type de ménopause que nous vivons est le reflet des modes de vie que nous avons adoptés depuis plusieurs années. Prendre le temps de s’occuper de soi offre toujours des bénéfices à plus ou moins long terme. L’important est de maintenir une santé optimale physique, émotionnelle et spirituelle et de garder le sourire ! Consultez votre herboriste pour vous aider à choisir les plantes adaptogènes et les dosages qui vous conviendront. Les informations contenues dans ce site ne visent pas à diagnostiquer, ni à remplacer un avis médical. N’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé si vous être incertain quant à votre état de santé général. Martine Hamel, acupunctrice Références Dr John R. Lee. Dr Jesse Hanley, Virginia Hopkins, Tout savoir sur la pré ménopause, Éditions Sully, Teeguarden, Radiant Health, Warner Books, J, Kim K. A randomized, double-blind, placebo-controlled trial of Schisandra chinensis for menopausal symptoms. Climacteric. 2016 Dec;196 Christiane Northrup, La sagesse de la ménopause, Éditions AdA inc., Gagnon, Valérie Lanctôt-Bédard, Flora Medicina, cours professionnel en herboristerie, J., Anderson A. Linda, Phillipson David J. Herbal Medicines, Pharmaceutical Press, Grande-Bretagne, 2002, deuxième M., Goldberg A., Brinckmann J. Ed. Expanded Commission E Monographs. Chaste Tree EG, Selle H, Boblitz N. Treatment of premenstrual syndrome with a phytopharmaceutical formulation containing Vitex agnus Womens Health Gend Based Med 2000 Apr;93315-20. American Botanical Council, publié par Integrative Medicine Communications, 2000. Sites internet Cristiane Northrup Md The North American Menopause society Prendre rendez-vous Sujet [url=t40950] [/url]. dans le forum Hashimoto Auteur Message DoudouMeccaInscrit le 3260+ Message bouffées de chaleur diurnes p343272 Posté le 17. Fév 2013, 1218 Bonjour à vous, merci pour ce forum que je consulte régulièrement depuis septembre 2012, date à laquelle j'ai appris que mon hypertension, soignée depuis juin 2012, était liée à un syndrome d'Hashimoto. Toute la batterie de symptômes était là tension 18/10, intense fatigue, dépression, insomnies, le coeur qui grimpait en régime à tout instant, jusqu'à 130, mais qui le reste du temps était passé d'une moyenne matinale allongée de 72.... à 58 !!! MAIS SURTOUT, et je m'inquiète que personne ne le mentionne réellement BOUFFEES DE CHALEUR A REPETITION, surtout la journée. Le toubib qui m'a prise en charge m'a certifié que ces inconvénients, qui remontaient à 2006, n'avaient rien à voir avec la ménopause, et cesseraient avec le lévothyrox. Bilan des courses La TSH étant encore à au 31/01/2013, le toubib a passé le dosage de Lévothyrox à 75 + candésartan 8- tension bien stabibilisée ainsi. Depuis ce nouveau dosage, mes journées font le yoyo. Jeudi dernier, pas de bouffée de chaleur jusqu'à 17 h, et soudain vilain malaise... J'étais presque heureuse lorsque le malaise a passé, de sentir monter à nouveau une bouffée de chaleur. Le lendemain, 6 bouffées dans la journée, activité réduite à part mon yoga salvateur. Hier plus de 20 bouffées dans la journée, moral dans les chaussettes, à nouveau des idées de mort qui reviennent. Ce matin, tout semble aller bien, il est 12 h 16. Quelqu'un ou une aurait-il un commentaire ou un conseil à me donner sur ce sujet ? D'avance merci à vous DD nuitdechineMembre bienfaiteurInscrit le 75Hashimoto diagnostiq...Montreuil40+ Message p343302 Posté le 17. Fév 2013, 2008 Merci. Ce message m'a été utile ! dit Hamzansen Bonjour Doudoumecca, Ca a l'air difficile à vivre tout ça ! Moi aussi j'ai une hypothyroïdie de Hashimoto, diagnostiquée fin 2011. Je commence seulement à stabiliser les choses... Mon dosage a été revu de nombreuses fois, à la hausse, puis à la baisse et de nouveau à la hausse... C'est apparemment classique en début de maladie ou de début de traitement, je ne sais pas trop. Tout cela pour te dire qu'il va falloir t'armer de patience, avant d'arriver à un dosage qui te corresponde et à la disparition de tes symptômes. D'autant que nos thyroïdes meurent par paliers pendant qu'on augmente nos dosages très lentement... un chassé-croisé assez pénible. La sudation excessive semble être un symptôme constaté chez beaucoup d'entre nous regarde le sujet que j'ai initié "suées nocturnes". D'autres y parlent de bouffées de chaleur diurnes, en hyper et en hypo. C'est un symptôme assez facile à identifier, contrairement à l'humeur ou à la tension. Du coup, tu peux éventuellement te baser dessus pour identifier le dosage hormonal qui te convient. Pour ma part, les suées nocturnes sont apparues il y a 5 ans, de temps en temps et sont venues de plus en plus souvent. Elles avaient presque disparu l'été dernier. Elles ont fait un retour hyper impressionnant il y a quelque mois et complètement disparu lorsque le dosage hormonal a été revu... Courage, tu es sur la voie de l'amélioration !_________________"On a deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en a qu'une." Confucius DoudouMeccaInscrit le 3260+ Message p343321 Posté le 18. Fév 2013, 0827 Bonjour NuitdeChine, merci pour ton gentil mail. J'avais lu avec intérêt les échanges concernant les suées nocturnes, phénomène que j'ai connu à très peu d'occasion, et encore, cela n'allait pas jusqu'à mouiller les draps. C'est pourquoi j'ai ouvert cette question des coups de chaleurs diurnes, car j'ai pu remarquer que ces coups de chaleurs à répétition, les jours où je suis "fragilisée" par la confusion des productions thyroïdiennes, mon émotivité, qui a toujours été importante, mais que j'ai pu masquer durant toute ma vie professionnelle, semble être à fleur de peau et prendre complètement le contrôle. Toutes les investigations ont été menées par mon nouveau toubib coeur, glandes cortico-surrénales, reins, etc... Il semble bien que je ne souffre d'aucun autre truc, mais je voulais savoir, en ouvrant cette interrogation sur les bouffées de chaleurs diurnes, si d'autres que moi en étaient affectées. Ce matin, je tente de prendre du sédatif PC, excellent traitement contre les états émotifs, je vais voir ce que cela donne, je rendrai compte de l'expérience Pour aborder les points positifs je pratique 3 fois par semaine 1 h 30 de combiné Pitales/Yoga, ça me fait beaucoup de bien. Bien amicalement à toi, et à toutes Bien amicalement nuitdechineMembre bienfaiteurInscrit le 75Hashimoto diagnostiq...Montreuil40+ Message p343354 Posté le 18. Fév 2013, 1544 Bonjour DoudouMecca, Dans le sujet que j'ai ouvert, j'ai vu plusieurs témoignages de personnes parlant de suées diurnes elles sont obligées de prendre des vêtements de rechange, ne peuvent pas se faire épiler correctement, sont embarassées chez le kinésithérapeute, etc. Mais j'ai vu des témoignages provenant, si mon souvenir est bon, aussi bien de personnes en hypothyroïdie Hashimoto et TT qu'en hyperthyroïdie, hommes comme femmes, ménopausée ou non. Ce que j'en ai retiré, c'était que le dérèglement de la sudation était lié au dérèglement de la fonction thyroïdienne. Tes symptômes fluctuants sont étranges. Tu prends ton cachet de lévothryox quand? Tu prends un autre traitement ? Amitiés _________________"On a deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en a qu'une." Confucius DoudouMeccaInscrit le 3260+ Message p343379 Posté le 18. Fév 2013, 1741 Re-Bonjour Je souhaiterais sincèrement éviter le qualificatif d'étrange, car je ne cherche pas à en rajouter, juste à vérifier si d'autres vivent les mêmes symptômes. J'ai parlé de de bouffées de chaleur, non pas de sudation, même si les bouffées sont accompagnées de suées. La première manifestation est une montée de température, accélération cardiaque, suées, puis ça retombe plus ou moins vite, en général je sors dehors...Pour les suées, c'est essentiellement levisage, mais c'est mon "terrain" même quand j'étais jeune et hyperthyroïdique, si je suais, c'était du visage. Particulièrement invalidant socialement.... Mon traitement est pris dans les règles Lévothyrox au lever, ensuite Candésartan pour l'hypertension, puis petit-déjeûner, ne perdons pas de temps avec cela... Bien amicalement DD fangdong1Inscrit le 38HashimotoVincennes 9450+ Message p345016 Posté le 08. Mar 2013, 1154 Bonjour, Je suis diagnostiquée hashimoto depuis 2007 et les sueurs nocturnes ou diurnes apparaissent par intermittance, mais j'ai remarqué comme toi qu'il y avait soit un déséquilbre hormonal je ne sens pas bien physiquement durant cette période là, soit un stress particulier. Pour moi, le corps surréagit au stress donc, il faut absolument réduire le maximum de cause de stress ce n'es pas facile, je le conçois bien Comme toi je fais du yoga, ça m'aide beaucoup. Et mentalement, j'essaye d'avoir des idées les plus positives possibles, ne pas m'emballer dans des humeurs colèriques, organiser mon temps pour ne pas me causer des sources de stress j'étais la championne du retard avant, et le fait de modifier ce comportement a été très bénéfique pour moi se contenter de ce qui se passe ici et maintenant, et ne pas ruminer le passé ou s'angoisser sur un projet futur, reposer son esprit.... Lister toutes les sources de stress possibles est déjà un travail en soi, on peut agir sur certaines, mais bien sûr pas sur toutes,... Voilà bonne chance à toi et à tous les lecteurs de ce message ! DoudouMeccaInscrit le 3260+ Message Merci pour ton témoignage p345021 Posté le 08. Mar 2013, 1224 Merci, Fandong je me sens moins seule et surtout je psychotte moins car ma peur était qu'il y aurait peut-être encore un truc en plus.... En fait, la forme revient peu à peu, les coups de chaleur ont beaucoup diminué, je sens que le dosage actuel ne me met pas encore dans la pleine possession de mes moyens, mais plus de dépression, plus de soucis de sommeil, juste la difficulté à "ramer" et quelques petits coups de chaleur avec suées beaucoup moins importantes je me sens sur la bonne voie. Merci au forum Prochain dosage lundi 11 mars. Bien amicalement fangdong1Inscrit le 38HashimotoVincennes 9450+ Message p345063 Posté le 08. Mar 2013, 2146 Et oui ! Avant de comprendre ce qui nous arrive et d'apprivoiser notre maladie, on est assez mal ! Moi aussi je remercie le forum, cela rassure beaucoup de voir que d'autres ont les mêmes symptômes et se heurtent à la même incompréhension des médecins. Et si tu as un doute, après un gros stress, tu peux très bien te faire contrôler ta TSH par ton labo et aller voir le médecin ensuite si besoin. Au contraire, parfois on a des bonnes surprises ! Moi l'année dernière, je me trainais, j'avais pris du poids, le généraliste voulait me faire passer à 125 de Lévo. J'ai résisté, je lui ai dit laissez moi 6 mois, et maintenant je suis en pleine forme même un peu tendance hyper et ma TSH a baissé TOUTE SEULE. Profite des temps calmes dans ta vie pour te ressourcer, profite du soleil du Midi, chez nous on est en manque depuis des mois. Si ton corps te demande de ralentir, c'est qu'il a ses raisons fleur5212 Message p352866 Posté le 25. Mai 2013, 0728 DoudouMecca a écrit Bonjour NuitdeChine, merci pour ton gentil mail. J'avais lu avec intérêt les échanges concernant les suées nocturnes, phénomène que j'ai connu à très peu d'occasion, et encore, cela n'allait pas jusqu'à mouiller les draps. C'est pourquoi j'ai ouvert cette question des coups de chaleurs diurnes, car j'ai pu remarquer que ces coups de chaleurs à répétition, les jours où je suis "fragilisée" par la confusion des productions thyroïdiennes, mon émotivité, qui a toujours été importante, mais que j'ai pu masquer durant toute ma vie professionnelle, semble être à fleur de peau et prendre complètement le contrôle. Toutes les investigations ont été menées par mon nouveau toubib coeur, glandes cortico-surrénales, reins, etc... Il semble bien que je ne souffre d'aucun autre truc, mais je voulais savoir, en ouvrant cette interrogation sur les bouffées de chaleurs diurnes, si d'autres que moi en étaient affectées. Ce matin, je tente de prendre du sédatif PC, excellent traitement contre les états émotifs, je vais voir ce que cela donne, je rendrai compte de l'expérience Pour aborder les points positifs je pratique 3 fois par semaine 1 h 30 de combiné Pitales/Yoga, ça me fait beaucoup de bien. Bien amicalement à toi, et à toutes Bien amicalement Bonjour, En hypothyroïdie la température est plus basse de presque 1 degré, mais c'est surtout lorsqu’on est en hypothyroïdie, lorsque les taux se régularisent la température ré-augmente d'où d'ailleurs certaines se plaignent de bouffées de chaleur. isa33700Inscrit le 1 Message Re bouffées de chaleur diurnes p364095 Posté le 04. Oct 2013, 0852 DoudouMecca a écrit Bonjour à vous, merci pour ce forum que je consulte régulièrement depuis septembre 2012, date à laquelle j'ai appris que mon hypertension, soignée depuis juin 2012, était liée à un syndrome d'Hashimoto. Toute la batterie de symptômes était là tension 18/10, intense fatigue, dépression, insomnies, le coeur qui grimpait en régime à tout instant, jusqu'à 130, mais qui le reste du temps était passé d'une moyenne matinale allongée de 72.... à 58 !!! MAIS SURTOUT, et je m'inquiète que personne ne le mentionne réellement BOUFFEES DE CHALEUR A REPETITION, surtout la journée. Le toubib qui m'a prise en charge m'a certifié que ces inconvénients, qui remontaient à 2006, n'avaient rien à voir avec la ménopause, et cesseraient avec le lévothyrox. Bilan des courses La TSH étant encore à au 31/01/2013, le toubib a passé le dosage de Lévothyrox à 75 + candésartan 8- tension bien stabibilisée ainsi. Depuis ce nouveau dosage, mes journées font le yoyo. Jeudi dernier, pas de bouffée de chaleur jusqu'à 17 h, et soudain vilain malaise... J'étais presque heureuse lorsque le malaise a passé, de sentir monter à nouveau une bouffée de chaleur. Le lendemain, 6 bouffées dans la journée, activité réduite à part mon yoga salvateur. Hier plus de 20 bouffées dans la journée, moral dans les chaussettes, à nouveau des idées de mort qui reviennent. Ce matin, tout semble aller bien, il est 12 h 16. Quelqu'un ou une aurait-il un commentaire ou un conseil à me donner sur ce sujet ? D'avance merci à vous DD bjr je me suis fait operer fin fevrier ablation totale + cancer et depuis c est l enfer depressive anxiete saut d humeur et maintenant hypertension suivie de bouffee de chaleur j en peux plus wynnieMembre du CAInscrit le 31012Hypo / thyroide atro... l'isle d'abeau 60+ Message p364097 Posté le 04. Oct 2013, 0942 Bonjour Isa quel dosage de lévo prends tu et avec quels résultats tsh t3 t4 avec normes du labo?_________________Wynnie le forum vous est utile? Pensez à adhérer à l'association qui finance le fonctionnement du forum, tous les infos ici DoudouMeccaInscrit le 3260+ Message Hashimoto, suite, suite, suite p409476 Posté le 19. Juil 2015, 1458 Un petit point après3 ans de traitement, stabilisé à 100microgrammes/jour de Levo + truc pour le coeur + 200 mg sélénium + vitamines et zinc. Résultat des courses meilleure forme relative impossible de courir plus de 4 pas, mais toujours ces fichus coups de chaud, vitamine D à remonter tous les deux mois, et dégradation de la muqueuse vaginale avec douleurs et brûlures, le toubib préconise un traitement substitutif hormonal, QU EN PENSEZ VOUS ? Quelqu'un s'est-il vu préconiser ce genre de traitement en plus du Lévo y tutti quanti ??? Bien cordialement à toutes et tous Doudou hope1Inscrit le 271 Message traitement p409478 Posté le 19. Juil 2015, 1517 MP josykInscrit le 3503Thyroïdite HashimotoBas-Rhin Alsace60+ Message p409479 Posté le 19. Juil 2015, 1519 Merci. Ce message m'a été utile ! dit DoudouMecca Bonjour Oui, moi. J'ai un traitement thyroïde j'ai Hashimoto et en plus j'ai un traitement substitutif de la ménopause gel Estreva + progestérone. Tu pourrais essayer. hope1Inscrit le 271 Message p409480 Posté le 19. Juil 2015, 1524 Merci. Ce message m'a été utile ! dit DoudouMecca Impossible de t'envoyer un Mp. 2 ovules de colpotrophine + saugella rose pour la toilette. Je pense que c'est moins agressif qu'unTHS. Un très bon site "miss frottis" fait par une gynéco. Aller à la page 1, 2 Suivant You cannot post calendar events in this forum Bouffées de chaleurs, sueurs nocturnes Par Audrey Vaugrente Pour soulager les désagréments de la ménopause, recourir à la progestérone est une solution non seulement efficace mais aussi sans risque pour la santé, selon une étude. REX/Mood Board/REX/SIPA Publié le à 13h52 Hormones ou pas après la ménopause ? Le traitement hormonal de substitution THS fait l'objet de débats dans le domaine médical depuis des années. Alliant progestérone et oestroègnes, il sert à soulager les bouffées de chaleur et les désagréments liées à la ménopause. Mais il est aussi accusé d'augmenter le risque cardiovasculaire des patientes. Une étude de l'université de Colombie Britannique Canada, publiée dans PLOS ONE ce 15 janvier, se prononce en faveur de la progestérone. Les risques ont été exagérés » La progestérone, hormone naturellement présente dans le corps, ne présente pas de risque particulier pour la santé cardiovasculaire, affirment les chercheurs. Cette hormone est la principale responsable des bouffées de chaleurs et des sueurs nocturnes pendant et après la ménopause. Cette étude dissipe l'un des principaux obstacles à l'utilisation généralisée de la progestérone chez les femmes ménopausées, selon les chercheurs. Pour parvenir à ces conclusions, l'équipe de chercheurs a recruté 110 femmes en bonne santé, récemment ménopausées un an après les dernières règles. La moitié d'entre elles a reçu un traitement de progestérone, l'autre moitié un placebo. Variation de la pression artérielle, âge et niveau de cholestérol ont été analysés. Cela a permis d'estimer, à 10 ans, le risque d'infarctus et d'autres événements vasculaires. Aucune différence n'a été trouvée entre les deux groupes. De nombreuses femmes appréhendent de prendre de la progestérone contre les bouffées de chaleur parce qu'elles pensent s'exposer au même risque - voire plus - qu'avec les oestrogènes. Nous avons déjà démontré que les bénéfices de la progestérone seule ont été ignorés. Cette étude prouve que les risques de la progestérone ont été exagérés », résume le Dr Jerilynn C. Prior, auteur principal de l'étude. Les oestrogènes longtemps privilégiés Les THS ont été utilisés pendant des années par les femmes afin de réduire la fréquence et la sévérité des désagréments de la ménopause. Ils servaient aussi à prévenir l'ostéoporose. Mais le recours à cette combinaison d'oestrogènes de synthèse et de progestérone a chuté après 2002. C'est à cette date qu'une étude a révélé que les THS augmentaient le risque de maladie cardiaque, de cancer du sein et d'AVC. Les oestrogènes ont longtemps été considérés comme l'ingrédient actif des THS contre les bouffées de chaleur. La progestérone, elle, était utilisée en prévention de l'épaississement de la paroi de l'utérus, l'endomètre, qui augmente le risque de cancer utérin. Le recours aux oestrogènes a progressivement été abandonné, notent les chercheurs. Depuis, le nombre de cancers du sein a également reculé. Je crois qu'il n'y a pas de meilleur, mais celui qui va fonctionner pour toi. Pour ma part je l'ai trouvé. J'ai connu ces désagréments l'année dernière de manière plutôt importante. Bouffées de chaleur plus d'une dizaine de fois dans la journée, les nuits sur un drap de bain à changer plusieurs fois, un corps qui passe de fournaise à gelé, des fourmillements douloureux dans les membres Comme j'avais eu une hépatite toxique pas cool il y a une dizaine d'années à cause d'un traitement hormonal prescrit pour règles hémorragiques dues en réalité à un polype décelé plus tard et dont la simple ablation a tout résolu, je ne voulais pas prendre de TSH. J'ai commencé à suivre les conseils alimentaires pas d'alcool ni de sucre le soir, repas légers ; suppression du chocolat, des plats épicés. J'ai vérifié un lien de cause à effet assez net. Et tant qu'à faire, j'ai amélioré l'ensemble de mon alimentation davantage de légumes, des protéines, supprimé le pain et le gluten au maximum, le lait de vache et le fromage à l'exception de chèvre et brebis, pas de gros repas mais plus de petits. Parce que j'avais rapidement pris du poids, chose qui ne m'était jamais arrivée, et que je n'avais pas envie que les kilos continuent de grimper sur la balance. Et aussi parce que mon système digestif était perturbé. J' essayais de rester zen quand les crises arrivaient sophro, cohérence cardiaque. Mais ça permettait juste de ne pas faire empirer les symptômes, pas de les empêcher ni de diminuer leur fréquence. Quand on n'a pas vécu ça, on ne peut pas se rendre compte. C'est vraiment épuisant, difficile de ne pas péter un cable . On m'a dit que c'était naturel et qu'il fallait attendre que ça passe, que je n'étais pas la seule. Mais je ne suis pas du genre à abandonner quand je cherche quelque chose J'ai essayé Abufène, Manahé, Acteane... Ca fonctionne pour certaines, ça n'a pas fonctionné pour moi. Aujourd'hui je prends Séropause des laboratoire Inobios. Ca a marché quasiment tout de suite, contrairement aux autres avec lesquels on m'avait dit de persister mais qui n'ont jamais démontré pour moi une quelconque amélioration. Les bouffées de chaleur ont disparu complètement. Je revis. Je le prends régulièrement et consciencieusement, matin et soir dès que j'oublie un comprimé, je sens revenir une sensation de début de bouffée de chaleur le soir même, même si c'est très atténué. Attention Séropause contient du soja. Si tu as des antécédents de cancer du sein dans ta famille, ce n'est pas recommandé tout comme le TSH même si on n'a pas vraiment d'études fiables sur le sujet. Mon médecin m'a conseillé de faire une pause tous les 6 mois pour vérifier si j'en ai toujours besoin ou si je peux l'arrêter. Mais nous sommes toutes différentes et donc ce qui marche pour l'une ne marchera pas forcément pour l'autre. Bon courage, et ne laissez pas tomber, il faut tester, jusqu'à trouver ce qui convient

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