TimothyWilliam Burton, dit Tim Burton, est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 25 août 1958 à Burbank en Californie. Maître du fantastique fortement influencé par Edgar Allan Poe, excellent conteur et graphiste d'exception, on lui doit notamment Beetlejuice, Batman, Edward aux mains d’argent, Ed Wood, Sleepy Hollow, Big Fish, Charlie et la Chocolaterie,
Eneffet, mes élèves ont entre 13 et 14 ans et certains sont sensibles à ce genre de film. Bien entendu, il ne s'agit pas de les traumatiser mais bien de les aider à comprendre le genre fantastique. Le film réalisé par Tim Burton est sorti en 1999 et n'a, à mon sens, pas vieilli. "En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs ca
TimothyWalter Burton, dit Tim Burton, est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 25 août 1958 à Burbank en Californie. Il est connu pour son univers assez particulier et
SleepyHollow : La Légende du cavalier sans tête (Sleepy Hollow) est un film fantastique américain de Tim Burton, librement adapté de la nouvelle homonyme de Washington Irving, La Légende de Sleepy Hollow, et sorti en 1999.. Le film, dont le développement a commencé en 1993, était prévu pour être à l'origine un slasher à petit budget mais Paramount Pictures
SleepyHollow, film américain de 1999 réalisé par Tim Burton, de genre Thriller, Epouvante-horreur, avec Johnny Depp, Christina Ricci, Christopher Walken,
TimBurton revient ensuite au cinéma et à ses thèmes favoris, conte gothique, atmosphère embrumée et humour noir pour Sleepy Hollow (1999) avec Johnny Depp, puis assume la nouvelle adaptation
H3YLC. Date de naissance 25 août 1958 56 ans Professions Réalisateur Producteur Scénariste Acteur Timothy Walter Burton, dit Tim Burton, est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 25 août 1958 à Burbank en Californie. Réalisateur de 16 long métrages dont les plus connus sont Sleepy Hollow ou Alice au Pays des Merveilles plus récemment Dark Shadows et Frankenweenie 2012. Biographie[] Tim Burton passe l'essentiel de son enfance en solitaire, se définissant lui-même comme un introverti. Au soleil de la Californie, dans sa ville natale de Burbank, qu'il définit lui-même comme l'antichambre d'Hollywood, il préfère les salles obscures des cinémas où il voit et revoit les films de monstres comme Godzilla, Frankenstein et ses nombreuses suites, les films de Hammer Film Productions, et surtout ceux avec Vincent Price. Il s'amuse à terroriser l'enfant de ses voisins en lui faisant croire que les extra-terrestres se préparent à envahir la planète. Très doué pour le dessin, il gagne un concours organisé pour décorer les camions de la ville. En 1979, il est embauché par les studios Disney. Il dira à ce propos Cela peut paraître stupide, mais je suis arrivé à une époque où le studio était en crise. Les dirigeants cherchaient à tout prix du personnel » . Avec toute la meilleure volonté du monde, Burton ne parvient pas à dessiner ce que le studio désire. Durant cette période, il écrit un poème qui, dix ans plus tard, sera la base du scénario de L'Étrange Noël de Monsieur Jack. En 1982, Burton reçoit 60 000 USD pour réaliser, à partir du scénario qu'il a rédigé, Vincent. Julie Hickson, exécutif chez Disney, et Tom Wilhite, responsable du développement créatif, sont persuadés du potentiel créatif du jeune homme. Cerise sur le gâteau, Vincent Price, son idole, est le narrateur de ce petit dessin animé. Rick Heinrichs, collègue de travail et spécialiste de l'animation, travaille sur le projet. Il sera de presque tous les futurs films de Burton. Les cadres du studio sont effrayés par la noirceur de ce court métrage de seulement cinq minutes, et le mettent au placard. Il ne sortira qu'en complément de programme de L'Étrange Noël de Monsieur Jack en 1993. Néanmoins, ils reconnaissent à Burton un certain talent. Aussi, il est choisi pour mettre en scène un court métrage un peu plus long, avec des acteurs et des décors réels Frankenweenie. Même résultat artistique et même conséquence. Un univers sombre et poétique[] La chance lui sourit en 1985. La firme cinématographique Warner Bros a passé un contrat avec l'acteur Paul Reubens qui incarne Pee-Wee Herman, sorte d'enfant dans un corps d'adulte, pour réaliser un film dont il est la vedette. Tim Burton parvient à décrocher le poste de réalisateur. Il n'entre plus dans les plans de Disney, et Warner veut un metteur en scène qui ne pose pas de problème. Avec un faible budget, Pee-Wee Big Adventure n'est pas l'une des priorités du studio qui concentre son attention sur Les Goonies, mais qui garde cependant un œil sur ce tournage record le film est réalisé en moins d'un mois, sans aucun dépassement budgétaire. Danny Elfman signe la musique ; c'est le début d'une longue et fructueuse collaboration entre le compositeur et le réalisateur. Succès surprise au box-office, le premier long-métrage de Tim Burton divise la critique. Lucide, Burton refuse de réaliser la suite des aventures de Pee-Wee afin de ne pas être catalogué. Trois ans plus tard, il est désigné pour réaliser Beetlejuice, d'un budget de treize millions de dollars, dont un affecté aux effets spéciaux. Avec ce film, qui est, selon ses propres mots, une version parodique de L'Exorciste, il pose un peu plus les bases de son univers joyeusement morbide, délicieusement poétique et comique. Emmené par l'interprétation totalement déjantée de Michael Keaton, le film cartonne et récolte soixante-treize millions de dollars aux États-Unis seulement, et reçoit un Oscar pour le maquillage. Warner propose à Tim Burton de réaliser Batman, avec un budget de trente cinq millions de dollars. La firme a acquis les droits d'adaptation du personnage créé par Bob Kane en 1979 et a mis près de dix ans à développer le projet. Séduit depuis toujours par la face cachée, la double personnalité de Batman, Burton accepte. Il part à Londres, aux studios Pinewood où Stanley Kubrick a mis en scène Full Metal Jacket. Anton Furst, décorateur du film de Kubrick, est engagé pour réaliser Gotham City. Burton désire s'éloigner un peu de la folie qui entoure ce projet. Malgré tout, il est sans cesse sous pression son choix de prendre Michael Keaton pour interpréter le justicier masqué est contesté. Le costume en tissu bleu de la série devient noir, avec une fausse musculature. La Warner est inondée de plus de cinquante mille lettres de protestations. Mais le cinéaste ne veut rien lâcher, soutenu par ses principaux acteurs. Il veut effectuer un retour aux sources qui prête à discussion, voire à polémique chez certains fans. Vincent Price, avec qui il est en contact depuis Vincent, lui écrit pour lui témoigner son soutien. Le film remporte quatre cent millions de dollars à l'échelle mondiale, et l'Oscar des meilleurs décors. Burton a désormais les coudées franches, mais le tournage l'a moralement vidé. Il souhaite revenir à un film plus intimiste. Ce sera Edward aux mains d'argent. Le carré d'as[] Burton sollicite le studio 20th Century Fox pour financer son film. Warner veut impérativement lui faire réaliser la suite des aventures de Batman, et ne manifeste aucun intérêt pour ce scénario basé sur un dessin d'homme avec des mains-ciseaux qui, sans le vouloir, casse tout ce qu'il touche. Il choisit la Floride pour mettre en scène ce film largement autobiographique. C'est également la rencontre entre Burton et l'acteur Johnny Depp. Tant pour l'un que pour l'autre, l'alchimie est parfaite. Nouvelle rencontre cinématographique entre le fan et l'idole, Vincent Price tient le rôle de l'inventeur d'Edward, son dernier rôle à l'écran. Une interprétation bouleversante selon Burton. Véritable plaidoyer pour la tolérance, magnifié par l'interprétation habitée de Johnny Depp et de Winona Ryder, ainsi que la musique de Danny Elfman, ce quatrième long-métrage est salué par l'ensemble de la critique comme un chef-d'œuvre. Triomphe commercial, il demeure aujourd'hui encore l'un des sommets de la filmographie de Tim Burton. En 1992, il accepte de réaliser le deuxième volet des aventures de Batman. Cette fois-ci, le justicier masqué est confronté à Catwoman et au Pingouin, joués respectivement par Michelle Pfeiffer et Danny DeVito. Les dirigeants de Warner se sont mordus les doigts d'avoir refusé Edward aux mains d'argent ; ils donnent donc une entière liberté artistique à Burton qui place le tournage à Burbank, sa ville natale. Encore plus noir et plus torturé que le premier, ce nouvel opus pose encore une fois problème, car Warner reçoit de nouvelles lettres de protestations, non pas des fans mais des parents qui jugent le film trop effrayant pour leurs enfants. Mais le film triomphe au box-office. En outre, il traduit l'influence du cinéma expressionniste sur Burton, et plus particulièrement Friedrich Murnau et son Nosferatu. Marque indiscutable de cette parenté, Christopher Walken incarne un homme d'affaires véreux appelé Max Shreck, le nom de l'interprète du vampire dans le film de Murnau. L'année suivante, une surprise de taille arrive sur les écrans L'Étrange Noël de Monsieur Jack . Le scénario est basé sur un poème écrit par Burton à l'époque où il était chez Disney. Il rappelle le Grinch du Dr Seuss, l'un des poètes favoris du cinéaste. Il s'agit d'un film d'animation image par image, une technique artisanale pour laquelle Burton a une grande passion. La mise en scène va nécessiter trois ans. C'est Henry Selick qui est chargé de la réalisation, mais Burton l'a surveillé très étroitement. Le film est produit par Disney, propriétaire du poème. Le contrat que Burton a signé en intégrant le studio en 1979 comprend une clause spécifiant que toute activité créatrice d'un membre de Disney est la propriété de la Police de la pensée » en clair, ne serait-ce que pour réaliser un scénario à partir du poème, il faut négocier avec Disney. Mais le succès de leur ancien employé rendent les dirigeants plus accommodants. Un budget de dix-huit millions de dollars est débloqué, soit le tiers du budget habituel d'un film Disney. Pour la troisième fois consécutive, l'action se déroule à l'époque de Noël. Tim Burton donne libre cours à sa passion pour la fête de l'Halloween. Danny Elfman compose les mélodies, mais également des chansons qui transforment le poème en une comédie musicale. Burton et Elfman se disputent souvent car, si les chansons s'insèrent très bien dans l'histoire et ne la ralentissent pas, elles nécessitent des aménagements scénaristiques. Cela a pour effet que les deux amis se fâchent ; une brouille qui durera trois ans. En 1994, Burton met en scène la vie farfelue d'Edward Davis Wood Junior, réalisateur affublé de façon posthume du titre de plus mauvais réalisateur de tous les temps ». Il sollicite Johnny Depp pour incarner un nouvel Edward qui, comme le précédent, entretient de nombreuses connexions avec son univers et sa vie. Avec cependant une nuance de taille Burton est adulé alors que Wood fut dénigré. La relation entre Lugosi et Wood est un miroir de celle entre Price et Burton. Le scénario se concentre sur la période fastueuse » d'Edward Wood. On le voit mettre en scène, non sans mal, trois films dont le légendaire Plan 9 from Outer Space. Pour la circonstance, il s'entoure de nombreux acteurs passés ou méprisés comme Bela Lugosi, la présentatrice de films d'horreurs Vampira et le lutteur suédois Tor Johnson. Toute cette troupe vit de nombreuses péripéties dans leur parcours cinématographique digne d'un film hollywoodien, mais précisément l'inverse du rêve américain » cher à Hollywood qui préfère les histoires à succès. De plus, le film est tourné en noir et blanc. Tous ces choix expliquent probablement l'échec de l'un des meilleurs films de Tim Burton qui se surpasse comme rarement. Il retourne certaines séquences, à l'identique, des films de Wood avec une précision d'orfèvre. Généreux, il offre deux superbes cadeaux à Ed Wood la rencontre avec Orson Welles qui n'eut jamais lieu, et une première triomphale pour Plan 9 from Outer Space. Howard Shore compose la musique en lieu et place d'Elfman. Le film remporte deux Oscars Martin Landau décroche l'Oscar du meilleur second rôle pour son interprétation de Bela Lugosi, et Rick Baker celui du maquillage, mais le film ne s'inscrit pas au box-office. Tim Burton connaît son premier échec commercial. Fin de siècle en demi-teinte[] Son nouveau projet est Mars Attacks!. Jonathan Gems, collaborateur de Burton depuis Batman, également scénariste et auteur de pièces de théâtre, rédige un scénario basé sur un jeu de cartes représentant des martiens et des dinosaures . Burton donne volontairement à son film un aspect ringard, dans le style des films de science-fiction à petit budget des années 1950 . Très éloigné du style gothique, expressionniste ou même coloré Pee-Wee Big Adventure, Beetlejuice qu'on lui connaît, la griffe de Burton se reconnaît à son humour. Ce sont des enfants qui sauvent la planète des envahisseurs pendant que le président fait face à des journalistes qui se demandent si les martiens ont un sexe. Version surprenante de La Guerre des mondes de Wells. Malgré une pléiade de stars, le film n'emballe ni la critique, ni le public qui lui préfère Independence Day, film traitant du même sujet mais sur un ton plus dramatique, et à grands coups d'effets spéciaux. Néanmoins, ce deuxième échec commercial a un point positif le retour de Danny Elfman à la musique. Burton a expliqué les raisons de cette brouille Danny, Henry Selick et moi nous disputions souvent sur le plateau de L'Étrange Noël de Monsieur Jack, à cause des chansons de Danny. Caroline Thompson et moi devions sans arrêt réaménager le scénario pour les insérer. On s'est tous conduits comme des gamins. Mais de ne pas nous voir pendant un certain temps nous a fait du bien à tous les deux.» Les deux artistes ne se quitteront plus. Burton a retrouvé son pendant musical. On lui propose de réaliser un nouvel épisode de Superman, avec Nicolas Cage dans le rôle principal, plus axé sur la psyché du personnage. Burton accepte mais après un an, le projet est interrompu. Il se retrouve pleinement dans le scénario de Sleepy Hollow ambiance sombre et gothique, cadavres décapités en série, humour noir, démon sans tête... Kevin Yagher, responsable des effets spéciaux de la série Les Contes de la crypte, s'associe avec Andrew Kevin Walker, auteur du scénario de Seven, pour adapter la nouvelle éponyme de Washington Irving. Le tournage se fait en Angleterre, et plusieurs collaborateurs de Batman sont sollicités. Toujours peu enclin aux effets spéciaux numériques, qui sont limités au strict minimum pour un film de ce genre, Burton concentre toute l'attention de son équipe artistique sur les décors, allant jusqu'à réaliser lui-même certains arbres de la forêt. Appuyé par Johnny Depp, Christina Ricci, Michael Gough et Christopher Lee, le cinéaste renoue avec le succès critique et commercial, malgré une interdiction aux enfants de moins de 13 ans aux États-Unis. Elfman compose pour l'occasion une musique sombre et torturée. Sorti en 1999, le film semble être un récapitulatif de l'œuvre de Burton citrouille, humour noir, ambiance gothique, moulin en feu, légende médiévale démoniaque... Nouveau millénaire et nouvelles obsessions[] Le XXIe siècle s'ouvre de manière ambivalente pour Tim Burton. Le succès de Sleepy Hollow, cependant très loin de ses premiers films, lui permet de retrouver le final cut, autrement dit le montage final, perdu après Ed Wood. Néanmoins, Burton n'est toujours pas en position de force. En 2001, il accepte de réaliser un remake de La Planète des singes. Pendant le tournage, il se sépare de l'actrice Lisa Marie qu'il a épousée huit ans auparavant, et rencontre Helena Bonham Carter qui va devenir sa femme. Il perd également son père. Le film obtient de bons résultats, atteignant les cent soixante-treize millions de dollars de bénéfices sur le sol américain. Deux ans plus tard, le studio Columbia le contacte pour mettre en scène Big fish. Entre-temps, sa femme lui a donné un fils. Un homme qui va devenir père mais qui va également perdre le sien ; Tim Burton ne peut que se retrouver dans cette histoire dont les événements sont très synchrones avec sa vie. Ewan McGregor tient le premier rôle. Le style du cinéaste change d'orientation, mais sa griffe est visible sorcière, loup-garou, géant, nains... Il concrétise en 2005 un projet vieux de plus de quinze ans mettre en scène le chef-d'œuvre de Roald Dahl, Charlie et la chocolaterie. Pour la quatrième fois, Johnny Depp est en tête de la distribution. Il campe un Willy Wonka complètement survolté, rappelant le démon Beetlejuice, et dont l'apparence ressemble, à certains égards, au personnage Alex d'Orange mécanique de Stanley Kubrick. Ce dernier est cité avec la scène de la barre chocolatée télévisuelle le film dans lequel la barre est projetée est 2001, l'odyssée de l'espace. Le cinéaste s'installe, pour la deuxième fois, aux studios Pinewood dont il utilise presque tous les plateaux. À titre d'anecdote, cent vingt mille litres d'un mélange couleur chocolat sont fournis par Nestlé. Danny Elfman signe la musique et prête sa voix pour le chœur des Oompas-Loompas. Si l'esthétique gothique habituelle fait place à un univers plus coloré, il n'en reste pas moins que la poésie propre à Burton demeure le plan final avec la maison des Bucket arrosée par des canons à neige. Quatre mois plus tard, Les Noces funèbres arrivent sur les écrans. Ce nouveau film d'animation a été tourné en parallèle de Charlie et la chocolaterie. Pour la circonstance, Burton s'entoure de ses collaborateurs habituels Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee, Albert Finney et Michael Gough notamment prêtent leurs voix aux marionnettes. Le scénario de Burton est basé sur un conte russe qu'un de ses collaborateurs lui a raconté, pendant le tournage de L'Étrange Noël de Monsieur Jack. Mais, cette fois-ci, pas de dispute entre Elfman et Burton. Les deux artistes ont retenu la leçon. Le cinéaste en profite pour égratigner un peu la bourgeoisie, présentée comme terne, cynique et arriviste, et afficher sa préférence pour le monde des morts, nettement plus haut en couleur et plus animé. Le résultat final est saisissant, très proche des œuvres de Jean Cocteau et de Bertolt Brecht. Pour l'anecdote, Burton a avoué s'être étonné lui-même, car il a dessiné ses principaux personnages sans penser à Depp, Helena Carter, Christopher Lee. De Vincent à Ed Wood, Tim Burton s'est fait le chantre des marginaux, des solitaires, des prétendus monstres renfermant des trésors de gentillesse. Avec Mars Attacks!, il passe à tout un groupe. Sleepy Hollow marque un nouveau cycle celui de la famille. Big Fish, Charlie et la Chocolaterie et Les Noces Funèbres poursuivent dans cette voie. L'enfant solitaire, prétendu anormal, a probablement réglé ses comptes et pense maintenant à fonder une famille. Nous avons appris récemment la séparation de Tim Burton avec son ancienne compagne, Helena Bonham Carter. Son œuvre et son style[] Tim Burton est un réalisateur, amoureux des images, jouant aussi bien avec le Technicolor kitsch des années 1950 qu'avec le noir et blanc du gothique ou de la nostalgie, mais aussi un amoureux des monstres attachants qui peuplent ses délires visuels, comme dans Pee Wee Big Adventure 1985, Beetlejuice 1988, Batman 1989, Edward aux mains d'argent 1990, Batman, le défi 1992, L'Étrange Noël de Monsieur Jack 1993, Ed Wood 1994, Mars Attacks! 1996, Sleepy Hollow 1999, La Planète des Singes 2001, Big Fish 2003, Charlie et la Chocolaterie 2005 et Les Noces Funèbres 2005. Dans une interview, il dit ... mon truc à moi ce sont les monstres. Déjà , môme, je les aimais. Je me sentais proche d'eux en marge de la société et incompris, comme eux. De plus, j'ai toujours eu un faible pour les outsiders, ceux que l'on pense méchants alors que, en fait, ils ne le sont pas. Ce sont des personnages attachants, très intéressants à explorer. » Il figure au palmarès des réalisateurs qui rapportent le plus au monde cinématographique en termes de bénéfices. Il est cependant l'un des rares réalisateurs américains à concilier de gros chiffres au box-office avec un univers et un style très personnels et une ambition artistique certaine, par ses histoires enchantées, dans lesquelles il travaille énormément les couleurs décors et costumes. Il est aussi un des derniers grands réalisateurs à utiliser la méthode artisanale de l'animation comme nous pouvons le voir dans L'Étrange Noël de Monsieur Jack qu'il n'a pas réalisé, contrairement à une croyance commune bien ancrée, mais qu'il a étroitement supervisé ou plus récemment dans Les Noces Funèbres. Tim Burton et Edgar Poe[] Edgar Allan Poe a fortement influencé Tim Burton. L’attrait que le cinéaste éprouve pour lui provient d’une part de la découverte de l’œuvre du poète maudit lorsque Burton a 10 ans et, d’autre part, des films que Roger Corman a réalisés d’après l’œuvre de Poe. Il convient de préciser que Vincent Price, son idole, était la vedette principale de ce cycle. Le scénario de L'Étrange Noël de Monsieur Jack a été rédigé à partir d'un poème Tim Burton. Cela renforce un peu plus le parallèle entre Burton et Poe, car son plus célèbre travail est un poème Le Corbeau. De plus, les poèmes de Poe et de Burton servent à chaque fois de base à l’élaboration des scénarios respectifs qui, certes respectent l’esprit des auteurs, mais entraînent l’histoire dans une nouvelle direction. Le poème original de Poe est transformé en un véritable feu d’artifice visuel et burlesque entre Price, Karloff et Lorre, tandis que celui de Burton devient une comédie musicale mélancolique et macabre. Marques de fabrique[] Tim Burton laisse sur chacune de ses œuvres plusieurs empreintes récurrentes, parmi lesquelles Présence fréquente de chiens morts, de chats noirs, de clowns, de parapluies, d'arbres tordus, de représentants d'églises peu sympathiques et d'épouvantails dans ses films. De plus, présence quasi perpétuelle de morts dans ses films. Les crédits, au début du film, sont souvent présentés en travelling. Travaille régulièrement avec certains acteurs Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Michael Keaton, Jeffrey Jones, Jack Nicholson, Glenn Shadix, Deep Roy, Christopher Lee, Lisa Marie, Winona Ryder, Danny de Vito, Albert Finney et Paul Reubens. Ses travaux et son style sont influencés par l'artiste Edward Gorey, notamment au niveau de ses peintures à l'encre. Utilise souvent les ombres afin d'obtenir un rendu inquiétant. Ses personnages principaux ont tendance à être des individus solitaires, excentriques, timides, en marge de la société, souvent pâles et distants. Ses créations présentent un bon nombre de rayures noires et blanches et de spirales tordues. Ses films commencent souvent par des flocons de neige tombant la nuit, ou lorsque la fête commence in medias res. Il s'inspire parfois du cinéma expressionniste allemand et de ses images exagérées. Pour les trames sonores, il travaille essentiellement avec Danny Elfman sauf pour Ed Wood, dont la musique est signée Howard Shore. Il insère souvent des références aux Kaijus Eiga dans ses films. Il a une prédilection pour les monstres de tous types loup-garou dans Big Fish, le Pingouin et Catwoman dans Batman 2, une galerie complète dans L'Étrange Noël de Monsieur Jack... Filmographie[] Réalisateur[] 1971 The Island of Doctor Agor 1979 Stalk of the Celery Monster 1982 Aladdin and his Wonderful Lamp dans l'émission Shelley Duvall's Faerie Tale Theatre 1982 Vincent 1982 Hansel and Gretel 1982 Luau, coréalisé et coscénarisé avec Jerry Rees 1984 Frankenweenie avec Shelley Duvall, Barret Oliver 1985 The Jar dans l'émission Alfred Hitchcock présente 1986 Pee-Wee Big Adventure The Story of a Rebel and his Bike avec Pee-Wee Herman, Mark Holton 1988 Beetlejuice avec Michael Keaton, Alec Baldwin, Geena Davis, Winona Ryder, Catherine O'Hara 1989 Batman avec Michael Keaton, Kim Basinger, Jack Nicholson 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands avec Johnny Depp, Winona Ryder, Dianne Wiest 1991 Batman, le défi Batman Returns avec Michael Keaton, Michelle Pfeiffer, Danny DeVito, Christopher Walken 1994 Ed Wood avec Johnny Depp, Martin Landau,Patricia Arquette, Bill Murray 1996 Mars Attacks! avec Jack Nicholson, Glenn Close, Danny DeVito, Tom Jones, Pierce Brosnan 1999 Sleepy Hollow avec Johnny Depp, Christina Ricci, Christopher Walken, Miranda Richardson, Christopher Lee 2001 La Planète des singes Planet of the apes avec Mark Wahlberg, Tim Roth 2003 Big Fish avec Ewan McGregor, Albert Finney, Helena Bonham Carter 2005 Charlie et la chocolaterieCharlie and the Chocolate Factory avec Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee 2005 Les Noces Funèbres Corpse Bride coréalisateur avec Mike Johnson avec les voix de Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Emily Watson, Christopher Lee, Albert Finney, Michael Gough 2007 Sweeney Todd Le Diabolique Barbier de Fleet Street avec Johnny Depp 2012 Frankenweenie 2012 avec Charlie Tahan, Winona Ryder et Martin Landau 2014 Big Eyes avec Reese Witherspoon et Ryan Reynolds 2016 Miss Peregrine et les Enfants Particuliers Miss Peregrine's Home for Peculiar Children avec Eva Green, Asa Butterfield, Ella Purnell 2019 Dumbo avec Colin Farrell, Eva Green, Michael Keaton et Danny DeVito Acteur[] 1992 Singles de Cameron Crowe avec Bridget Fonda, Matt Dillon 1994 A Century of Cinema de Caroline Thomas avec Richard Attenborough, Dan Aykroyd Scénariste[] 1982 Vincent de Tim Burton avec la voix Vincent Price 1985 Frankenweenie de Tim Burton avec Shelley Duvall 1988 Beetlejuice de Tim Burton avec Alec Baldwin, Geena Davis 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands de Tim Burton avec Johnny Depp, Winona Ryder 1993 L'Étrange Noël de Monsieur Jack The Nightmare before Christmas de Henry Selick avec Chris Sarandon, Danny Elfman 2005 Les Noces funèbres Corpse Bride de Mike Johnson avec les voix de Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Christopher Lee Producteur[] 1989 Beetlejuice 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands de Tim Burton avec Johnny Depp, Winona Ryder 1991 Batman, le défi Batman Returns de Tim Burton avec Michael Keaton, Michelle Pfeiffer 1993 L'Étrange Noël de Monsieur Jack The Nightmare before Christmas de Henry Selick avec Chris Sarandon, Danny Elfman 1994 Ed Wood de Tim Burton avec Johnny Depp, Martin Landau 1995 Batman Forever de Joel Schumacher avec Val Kilmer, Tommy Lee Jones 1996 James et la pêche géante James and the Giant Peach de Henry Selick 1996 Mars Attacks! de Tim Burton avec Jack Nicholson, Glenn Close 2005 Les Noces funèbres Corpse Bride de Mike Johnson Notes[] En 1997, Tim Burton a également écrit un petit recueil de poèmes, La Triste Fin du petit Enfant Huître et autres histoires The Melancholy Death of Oyster Boy & Other Stories, qu'il a illustré lui-même. En 1979, il a débuté dans les studios de Walt Disney, où il a planché sur Rox et Rouky Ce n'est pas un très bon souvenir. Leur vision du dessin n'était pas la mienne. Je me sentais enfermé dans un schéma qui ne cadrait pas avec ce que j'étais. Mais [...] grâce à eux j'ai pu travailler en parallèle sur mes premiers courts métrages. » En 2006, il reçoit un prix spécial pour l'ensemble de sa carrière au festival d'Annecy, où quelques personnes ont pu le rencontrer et lui poser des questions durant 45 minutes environ. Fan de l'acteur Vincent Price, Tim Burton lui rend hommage en 1982 dans Vincent, dans lequel Vincent Price lui-même prête sa voix au narrateur. Il retrouvera l'acteur dans Edward aux mains d'argent. Il a été le sujet de plusieurs biographies illustrées, notamment Tim Burton d'Antoine de Baecque par les éditions les Cahiers du Cinéma.
299 585 441 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidéosEntrepriseSélectionsPanierRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidéosLes légendes sont fournies par nos de l'imageTaille du fichier50,2 MB 1,6 MB Téléchargement compresséDimensions5122 x 3425 px 43,4 x 29 cm 17,1 x 11,4 inches 300dpiInformations supplémentairesCette image peut avoir des imperfections car il s’agit d’une image historique ou de dans la banque de photos par tags
Sleepy Hollow est un conte noir et sanglant, librement inspiré de la nouvelle de l’écrivain américain Washington Irving sortie en 1820 et intitulée The Legend of Sleepy Hollow. Synopsis En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouvés décapités. Les têtes ont disparu. Terrifiés, les habitants sont persuadés que ces meurtres sont commis par un étrange et furieux cavalier, dont la rumeur prétend qu’il est lui-même sans tête. Les autorités new-yorkaises envoient alors leur plus fin limier pour éclaircir ce mystère. Ichabod Crane Johnny Depp ne croit ni aux légendes, ni aux vengeances post-mortem. Mais, à peine arrivé, il succombe au charme étrange et vénéneux de la belle Katrina Van Tassel Christina Ricci. Gros succès commercial auprès des spectateurs, le film obtiendra de multiples récompenses pour ses effets spéciaux particulièrement réussis et sa direction artistique. Pour Burton, c’est la suite d’une carrière fructueuse et l’occasion de mettre en scène un univers horrifique qui perçait ponctuellement dans ses précédentes œuvres après la comédie fantastique Mars Attack!, Burton se lance enfin dans une intrigue sombre et sanglante, prélude à l’orgie cannibale de Sweeney Todd. Un univers visuel unique Sleepy Hollow est structuré sur une opposition initiale entre croyance et rationalité Ichabod Crane, jeune détective promoteur des nouvelles techniques de criminologie à la toute fin du 18e siècle, se bat contre l’obscurantisme et la barbarie archaïques du système judiciaire de l’époque. Envoyé dans la petite bourgade de Sleepy Hollow par l’effrayant bourgmestre de New York Christopher Lee, Ichabod va être confronté à des phénomènes surnaturels qu’il tentera par tous les moyens de justifier par des techniques scientifiques farfelues, non sans raison si le cavalier sans tête est bel et bien une créature magique, les meurtres suivent un dessein vénal qui ne peut être que d’origine humaine. Afin de mettre en scène cet affrontement du bien et du mal, de la raison et de la magie, Burton s’est entouré d’Emmanuel Lubezki, directeur de la photographie sur Great Expectations 1998 d’Alfunso Cuaron l’année précédente, aujourd’hui oscarisé pour son travail sur Gravity et Birdman. Après avoir abandonné l’idée d’un film en noir et blanc, Burton et Lubezki décident d’opter pour une image quasiment monochrome, qui vient renforcer l’ambiance surnaturelle anxiogène de ce conte horrifique, utilisant également des procédés visuels traditionnels pour souligner l’antagonisme des personnages dont la blancheur morbide contraste violemment avec un environnement obscur. Un rôle en or pour Johnny Depp En 1999, Johnny Depp est depuis longtemps devenu l’acteur fétiche du réalisateur, endossant des rôles de héros fragiles et touchants. Dans Edward aux mains d’argent déjà 1990, première collaboration entre les deux artistes, on pouvait admirer les grands yeux innocents et la démarche mal assurée de la créature aux mains-ciseaux, invention inachevée d’un Docteur Frankenstein des temps modernes. Après Ed Wood, où Depp devient le véritable alter-ego fictionnel de Burton, c’est en détective chevronné et sensible que l’on retrouve l’acteur. Alors que Paramount avait demandé à Burton de considérer d’autres acteurs, au premier rang desquels Brad Pitt, Liam Neeson ou encore l’excellent Daniel Day-Lewis, le réalisateur est resté, heureusement, sur son choix initial. Johnny Depp fait là encore un sans faute et signe une interprétation très juste de ce personnage torturé et touchant. Voir aussi Sleepy Hollow est donc le premier vrai film d’horreur d’un Tim Burton qui a longtemps flirté avec le genre. Le réalisateur ne cache d’ailleurs pas ses références, à Frankenstein surtout, lors d’une scène finale dans un moulin qui fait furieusement penser à celle du film de 1931. Distribué par les studios Paramount et produit par Francis Ford Coppola, Sleepy Hollow devait être un succès et le sera avec plus de 100 millions de dollars de recettes rien qu’aux USA. Sleepy Hollow-Bande-annonce Sleepy Hollow, La légende du Cavalier Sans Tête Fiche technique Titre original Sleepy Hollow Année 1999 Durée 105 minutes Genre Fantastique, épouvante-horreur, thriller Réalisation Tim Burton Casting Johnny Depp, Christina Ricci, Miranda Richardson, Michael Gambon, Christopher Walken, Ray Park, Christopher Lee Scénario Kevin Yagher, Tom Stoppard et Andrew Kevin Walker, basé sur la nouvelle de Washington Irving Musique Danny Elfman Société de production et de distribution Paramount Pictures USA, Pathé Distribution France Directeur de la photographie Emmanuel Lubezki
Carte mentaleÉlargissez votre recherche dans UniversalisDes gouttes de cire rouge sang scellent un testament secret... Une diligence fend la nuit, conduite par un cocher dont la tête vient d'être tranchée... Les premières scènes de Sleepy Hollow 1999 semblent sorties d'un musée de l'imagerie fantastique envahi par la poussière. Pourtant elles impressionnent, soutenues qu'elles sont par une croyance qui fonde tout le projet artistique du metteur en scène Tim Burton qu'elle soit sombre ou enchanteresse, la féerie du cinéma appartient au passé, mais elle ne vieillira jamais, car le passé c'est l'enfance, et l'enfance est éternelle. Tous les personnages des films de Tim Burton, qui est né en 1959, se rattachent d'ailleurs aux rêveries de sa propre enfance un superhéros apparu dès les années 1940 le mélancolique Batman, 1989, une créature à la fois monstrueuse et douce qui bouleverse une petite ville américaine des années 1960 Edward aux mains d'argent, 1990, ou encore un cinéaste qui réalisait des films d'horreur de série Z dans les années 1950 Ed Wood, 1994. De tous ses motifs de fascination personnels, Tim Burton a fait les inspirateurs d'un cinéma qui a gardé de l'enfance, non la naïveté ou la joliesse, mais la puissance d'imagination, et une faculté d'émerveillement qui se rattache étroitement à la suspension of disbelief l'interruption de l'incrédulité, où Coleridge voyait le principe de toute succès retentissants obtenus par le cinéaste montrèrent, d'un point de vue plus terre à terre mais essentiel pour sa liberté au sein des studios hollywoodiens, à quel point il savait faire partager son goût pour certaines formes du passé. Cette belle histoire avec le grand public tourna cependant au divorce avec Ed Wood, puis avec Mars Attacks ! 1997, parodie de la science-fiction des années 1950 et de ses Martiens envahisseurs et sanguinaires. C'est donc remis en question, et sommé de refaire ses preuves commercialement, que Tim Burton a choisi de tourner Sleepy Hollow, dont le scénario est dû à Andrew Kevin Walker, l'auteur du thriller coup-de-poing Seven, réalisé par David Fincher 1995.L'imagerie fantastique familière, qui ouvre Sleepy Hollow et s'y déploie même la vieille sorcière des contes y est présente, est ainsi renouvelée par le style de Tim Burton, mais aussi par une efficacité à laquelle le cinéaste n'avait jamais autant veillé. Elle gouverne d'abord les partis pris d'adaptation de la nouvelle de Washington Irving dont s'inspire le film, The Legend of Sleepy Hollow 1820, un des textes fondateurs de la littérature américaine. L'action en est située dans une communauté de colons hollandais du Nouveau Monde, où Ichabod Crane, le maître d'école venu de la ville, courtise Katrina van Tassel, la fille du fermier le plus riche du pays. Mais Brom, un autre soupirant de Katrina, se joue d'Ichabod Crane en lui racontant une légende dont le héros est un cavalier sans tête, puis en se faisant passer pour ce personnage imaginaire, ce qui terrorise Ichabod et le fait fuir. Dans le film de Tim Burton, le Cavalier sans tête n'est plus du tout un fantoche dont on agite la menace c'est un homme qui ne peut pas mourir, un décapité qui décapite à leur tour les habitants du petit village de Sleepy Hollow. Ses apparitions donnent lieu aux scènes les plus spectaculaires, et le tranchant de son épée est d'une redoutable efficacité. Quant à Ichabod Crane interprété par Johnny Depp, acteur fétiche de Tim Burton, il est devenu un policier new-yorkais venu enquêter sur les meurtres mystérieux de Sleepy Hollow, où Katrina van Tassel Christina Ricci n'est plus longtemps courtisée par Brom, massacré à son tour par le Cavalier sans nouvelle de Washington Irving a donc été soumise à un principe d' extériorisation » de tous ses éléments, passés entièrement du côté du visible dans le film de Tim Burton. Ainsi, la peur prend un visage, celui du Cavalier sans tête et de l'acteur Christopher Walken, dont quelques flash-back nous montrent qu'il fut, pendant la révolution américaine, un mercenaire allemand sanguinaire, ce qui renvoie en images à la source germanique de la nouvelle d'Irving, une ballade écrite par le romantique G. A. Bürger. Cette loi du tout voir » charge le film d'une violence visuelle qui en fait un des moins enfantins de [...]1 2 3 4 5 …pour nos abonnés, l’article se compose de 3 pagesÉcrit par journalisteClassificationArtsCinémaCinématographies nationalesCinéma américainRecevez les offres exclusives Universalis
Le deal à ne pas rater -20% sur les retours clients / produits d’occasions Amazon Warehouse Voir le deal Burtonmania Section principale Cave Corbeille Vestiges ancestraux AuteurMessageInvitéInvitéSujet Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 1018 Alors voilà , j'aimerais vraiment que vous m'aidiez chers fan de Tim Le 7 décembre prochain, je vais faire un exposé sur Tim Burton en histoire de l'art. Évidemment, le plus important dans mon exposé doit être ses dessins, croquis, aquarelle etc... J'ai d'ailleurs acheté ce livre est vraiment super =DMais voilà , 20 minutes d'exposé, c'est bien court pour tout raconter!! Je pensais à un plan de ce styleI Courte biographieII Ses œuvres plastiques en les raccordant à ses films bien sûrIII explication en détail d'un seul film les croquis ou autres qui lui sont ma première question c'est quelle œuvre choisir pour le III ? Et comment expliquer ses œuvres dans le grand II? Dois-je montrer des vidéos qui sont des extraits de film à chaque fois? Ou bien je réserve la vidéo uniquement pour le grand III? Enfin voilà je suis un peu perdue, et votre aide me serait ultra précieuse. Merci à ceux qui se lanceront! =Bien à vous, Emily InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 1821 Hello Emily! =D C'est trop la grande classe que tu faces un exposé dessus! *o*Alors moi je te ppropose juste des propositions hein! ^_- que pour le III tu faces l'un de ses films complètement de son imagination comme Edward aux mains d'argent ou l'étrange Noël de Monsieur Jack ou Les Noces Funèbres ^_^ Mais je pense que l'œuvre vraiment mieux de notre cinéaste adoré c'est son premier enfin je crois que c'est son premier xD court métrage avec Vincent Maloy ^^ Comme ça tu pourras leur en parler et leur montrer le dit court-métrage! =D M'enfin c'est juste une idée xD c'est ce que je ferais ^^ . Après pour le II je sais pas trop où tu veux en venir "œuvre plastique" lol Mais je pense que d'autres donneront leurs avis du coup tu auras le choix =DBonne chance!!! *o*PS Dis nous comment ça ce sera passé! ^0^ InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 2017 Merci beaucoup Ichabod! c'est marrant j'ai posé la même question sur un autre forum et pour le III Timidou m'a cité les mêmes films et je lui ai justement dit que Vincent m'intéressait beaucoup ;Les oeuvres plastiques, ce sont les oeuvres genre les croquis, les aquarelles... C'est le centre de l'exposé. Le principal ce n'est pas les films bien que, évidemment, c'est indispensable d'en parler. InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 2044 Ah d'accord =D Dans ce côté là je ne peux pas trop te dire mais cite quelques œuvres dessinés comme je t'ai dit je ne sais pas vraiment ^^'Bonne chance encore =D InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 2109 Pas de soucis j'ai le livre ^^Merci encore InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 2149 Je peine à trouver des croquis de Tim pour Vincent Malloy. Pour tout dire, j'en trouve aucun. Donc si l'un de vous en trouve je prends Merci. Je posterai ici les avancées de mon exposé si vous voulez, comme ça vous pourrez critiquer ou juste profiter des info que je trouverai... InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Ven 19 Nov - 2332 Owii! *o* Montres nous comment avance ton exposé! =D* est intéressé *o* * InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Dim 21 Nov - 1409 = j'ai enfin trouvé des croquis de Vincent grâce à Emily =DPour l'instant j'ai juste trouvé des sites mais je n'ai pas commencer à écrire. Je vous ferai parvenir tout ça InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Dim 21 Nov - 1413 Yhea! =D Ca c'est classe *o* InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Lun 22 Nov - 1712 Voici le début de mon texte Tim Burton est un réalisateur américain à succès qui a su s’imposer grâce à son originalité et son univers délirant. Nous présenterons son univers en trois parties I Courte biographieII Explication de quelques unes de ses œuvresIII Explication plus approfondie du court métrage Vincent MalloyITim Burton est né en 1958 à Burbank en Californie. Cette ville semble trop banale et monotone aux yeux de Burton qui va choisir de s’intéresser au cinéma et à la télévision, notamment aux films d’horreur. Dès son enfance, il s’intéresse de même au dessin, en particulier à la bande sa ville de naissance se trouvent plusieurs studios dont Warner Columbia ou encore le studio Disney, où il commença sa carrière. Il travailla surtout sur deux Disney Rox et Rouky et Taram et le chaudron 1982 il créa son premier film d’animation Vincent Malloy qui représente tout à fait son univers. En 1988 il a déjà quitté le studio Disney et s’est lancé dans la réalisation d’un nouveau film Beetle Juice, comédie pleine d’humour et de délire macabre où il fait preuve d’une grande originalité et est ainsi considéré comme l’un des réalisateurs les plus inventifs de sa œuvres de Tim Burton ont poursuit leur chemin. Bien qu’étant imprégnées de son univers, elles sont de différents styles Dessins ou films d’animation, courts métrages, ou encore longs métrages… Et pendant que je lirai ça d'un ton expressif et naturel! hum x , voilà ce qu'il y aura s'afficher avec le rétro projecteurSpoiler InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Lun 22 Nov - 1833 Encore besoin de votre aide x dsl pour le double postJe travaille sur word. Comme je me sers d'un retro projecteur pour faire l'exposé, il faudrait que je le fasse comme un diapo où je puisse passer les pages quand bon me semble. Mais je n'y connais rien =/ Connaissez vous un logiciel?Merci encore pour votre aide. InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Lun 22 Nov - 1937 deuxième partie explication rapide de quelques oeuvresNous allons observer les croquis réalisés pour quatre films différents qui nous exposent l’évolution des travaux de Burton. Ces œuvres nous montrent que l’univers de l’artiste évolue avec son aux mains d’argent Edward ScissorhandsCe film a été réalisé par Tim Burton en 1990. Depuis son enfance, il avait l’idée d’un homme avec des ciseaux en guise de mains. Il décida donc de lui donner vie à travers ses dessins, puis à travers le film. On y observe un univers coloré du côté de la ville et des habitants qui y vivent, en opposition au monde d’Edward qui lui est Noël de Monsieur Jack The Nightmare Before ChristmasCe dessin d’animation a été réalisé par Henry Selick d'après un scénario original de Tim Burton en film est inspiré d'un poème écrit dans les années 1980 par Tim Burton alors qu'il était animateur dans les studios film a été réalisé à partir de poupées » ayant pour modèle les dessins de Hollow La Légende du Cavalier sans TêteCe film a été réalisé par Tim Burton en 1999. Il s’agit d’une adaptation de la nouvelle de Washington Irving intitulée La Légende de Sleepy Hollow. L’ambiance de ce film est très sombre et lugubre. Il est presque en noir et blanc. Cependant, on remarque tout de même quelques couleurs, notamment le rouge qui est assez dominant. Les couleurs s’éclaircissent totalement à la fin du film, lors du dénouement. Alice au Pays des Merveilles Alice in WonderlandCe film en 3 dimensions a été réalisé par Tim Burton dans les studios Disney en 2010. On remarque ainsi que l’artiste n’hésite pas à suivre les nouvelles technologies afin de rendre ses œuvres encore plus puissantes à l’écran. Cette fois-ci, l’image est beaucoup plus colorée. Un mélange entre l’univers de Burton et de pas à critiquer. InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Jeu 9 Déc - 1048 Mon exposé s'est plutôt bien passé. Je le posterai ici si ça intéresse quelqu'un L'EcrivainAutorité SuprêmeMessages 520Date d'inscription 01/04/2010Age 26Feuille de personnagePoints de folie 0Démence 1/7Expérience 0/1000Sujet Re Exposé sur Tim Burton Jeu 9 Déc - 1103 Personnellement ça m'intéresse InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Jeu 9 Déc - 1712 Owi poste le donc! !!! super d'avoir mit Alice 8D /zbammm InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Lun 27 Déc - 1757 Ah je vois que ça intéresse des gens =D Ezio=EmilyJe vous poste tout ça. Bien sur il y avait des images et croquis de Burton est un réalisateur américain à succès qui a su s’imposer grâce à son originalité et son univers délirant. Nous présenterons son univers en trois parties I Courte biographieII Explication de quelques unes de ses œuvresIII Explication plus approfondie du court métrage Vincent MalloyITim Burton est né en 1958 à Burbank en Californie. Cette ville semble trop banale et monotone aux yeux de Burton qui va choisir de s’intéresser au cinéma et à la télévision, notamment aux films d’horreur. Dès son enfance, il s’intéresse de même au dessin, en particulier à la bande sa ville de naissance se trouvent plusieurs studios dont Warner Columbia ou encore le studio Disney, où il commença sa carrière. Il travailla surtout sur deux Disney Rox et Rouky et Taram et le chaudron 1982 il créa son premier film d’animation Vincent Malloy qui représente tout à fait son univers. En 1988 il a déjà quitté le studio Disney et s’est lancé dans la réalisation d’un nouveau film Beetle Juice, comédie pleine d’humour et de délire macabre où il fait preuve d’une grande originalité et est ainsi considéré comme l’un des réalisateurs les plus inventifs de sa œuvres de Tim Burton ont poursuit leur chemin. Bien qu’étant imprégnées de son univers, elles sont de différents styles Dessins ou films d’animation, courts métrages, ou encore longs métrages… Deuxième partie, rapide présentation des oeuvres bien sur ya plusieurs croquis et autres que je t'envoie pas pour chaque filmNous allons observer les croquis réalisés pour quatre films différents qui nous exposent l’évolution des travaux de Burton. Ces œuvres nous montrent que l’univers de l’artiste évolue avec son aux mains d’argent Edward ScissorhandsCe film a été réalisé par Tim Burton en 1990. Depuis son enfance, il avait l’idée d’un homme avec des ciseaux en guise de mains. Il décida donc de lui donner vie à travers ses dessins, puis à travers le film. On y observe un univers coloré du côté de la ville et des habitants qui y vivent, en opposition au monde d’Edward qui lui est Noël de Monsieur Jack The Nightmare Before ChristmasCe dessin d’animation a été réalisé par Henry Selick d'après un scénario original de Tim Burton en film est inspiré d'un poème écrit dans les années 1980 par Tim Burton alors qu'il était animateur dans les studios film a été réalisé à partir de poupées » ayant pour modèle les dessins de Hollow La Légende du Cavalier sans TêteCe film a été réalisé par Tim Burton en 1999. Il s’agit d’une adaptation de la nouvelle de Washington Irving intitulée La Légende de Sleepy Hollow. L’ambiance de ce film est très sombre et lugubre. Il est presque en noir et blanc. Cependant, on remarque tout de même quelques couleurs, notamment le rouge qui est assez dominant. Les couleurs s’éclaircissent totalement à la fin du film, lors du dénouement. Alice au Pays des Merveilles Alice in WonderlandCe film en 3 dimensions a été réalisé par Tim Burton dans les studios Disney en 2010. On remarque ainsi que l’artiste n’hésite pas à suivre les nouvelles technologies afin de rendre ses œuvres encore plus puissantes à l’écran. Cette fois-ci, l’image est beaucoup plus colorée. Un mélange entre l’univers de Burton et de je leur ai montré le court métrage de Vincent Malloy. Et je l'ai expliqué. Je vais essayer de retrouver l'explication InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Lun 24 Jan - 2217 Merci beaucoup en tout cas j'adore le contenu de ton exposé, j'espere que tout c'est bien passé pour toi désolé je suis un peu à la ramasse, si j'étais revenu plutôt sur le site j'aurais pu t'aider ^^ InvitéInvitéSujet Re Exposé sur Tim Burton Mar 25 Jan - 1100 Et ce n'est que maintenant que je vais dire que...j'avais un bouquin rempli d'interview de Tim Burton sur tous ses films un à un, c'est idiot -' si j'avais visité ce sujet avant. Cela dit je vois que tu t'en es très bien sorti, la biographie est sympa et j'aime le côté très objectif. Pour une fois on ne se noie pas dans le "pauvre petit garçon taciturne qui n'avait pas d'ami". Pour un exposé de ce genre c'est cool. Tu as bien sélectionné les oeuvres, Edward et Nightmare before christmas sont les deux incontournables, Sleepy Hollow ça boucle tout et puis Alice en temps que petit dernier. Finir avec Vincent était une très bonne idée. Joli plan, simple mais efficace, j'espère que ça a plu. Contenu sponsoriséSujet Re Exposé sur Tim Burton Exposé sur Tim Burton Page 1 sur 1 Sujets similaires» Exposition Tim Burton » Concours Tim Burton» ~Un nouveau film de Tim Burton~» Films au cinema Pas forcément Tim Burton» Convention Spéciale Tim Burton 2011Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumBurtonmania Section principale Cave Corbeille Vestiges ancestrauxSauter vers
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