Citationset proverbes sur "Un Dur Travail" "Vous tournez et vous travaillez dur et vous prenez soin de vos fans et de trÚs vraies choses mÚnent à d'autres véritables choses. Il n'y a jamais été une fantastique fluke ou une pause dans ma carriÚre, elle a tout été trÚs lente et réguliÚre ." --- Amanda Palmer. #Réel #Un dur travail #Prends soin de toi "Je pense que l'une de mes plus
Lameilleure citation d'Anonyme prĂ©fĂ©rĂ©e des internautes. Retrouvez toutes les phrases cĂ©lĂšbres d'Anonyme parmi une sĂ©lection de + de 100 000 citations cĂ©lĂšbres provenant d'ouvrages, d'interviews ou de discours. Lisez le TOP 10 des citations d'Anonyme pour mieux comprendre sa vie, ses actes et sa philosophie. (page 84) Citation CĂ©lĂšbre. Citations et proverbes âș
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RT@kendi_keevin: « Dieu donne ces plus durs combats à ces plus forts soldats! » 13 Aug 2022
DĂ©couvrezune citation plus dur - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, de lui avoir donnĂ© le souci pour nouvelle mĂšre, de lâavoir jetĂ© malgrĂ© lui dans le monde de la misĂšre et de lâindigence et de lui avoir ainsi fait connaĂźtre ceux pour lesquels il devait plus tard combattre. Mein Kampf (1924), Adolf Hitler, Ă©d. La BibliothĂšque Ă©lectronique du QuĂ©bec, coll
RT@tonvoisin: "Dieu donne ses plus durs combats, a ses plus fort soldats" T'es bien gentil et bien aimable Dieu, dans ta grande mansuétude, tu ne pourrais pas les donner à des fumiers en forme d'ordures juste histoire de nous laisser respirer ? AMEN Tonvoisin #citation. 24 Nov 2021
Y37li. Va et que le Seigneur soit avec toi. » 1 Samuel 17,37 David contre Goliath 1 Samuel 17, 32-37 ; 48-49 David dit au roi SaĂŒl Que personne ne perde courage Ă cause de ce Philistin Goliath. Moi, ton serviteur, jâirai me battre avec lui. » SaĂŒl rĂ©pondit Ă David Tu ne peux pas marcher contre ce Philistin pour lutter avec lui, car tu nâes quâun enfant, et lui, câest un homme de guerre depuis sa jeunesse. » David dit Ă SaĂŒl Quand ton serviteur Ă©tait berger du troupeau de son pĂšre, si un lion ou bien un ours venait emporter une brebis du troupeau, je partais Ă sa poursuite, je le frappais et la dĂ©livrais de sa gueule. Sâil mâattaquait, je le saisissais par la criniĂšre et je le frappais Ă mort. Ton serviteur a frappĂ© et le lion et lâours. Eh bien ! ce Philistin incirconcis sera comme lâun dâeux puisquâil a dĂ©fiĂ© les armĂ©es du Dieu vivant ! » David insista Le Seigneur, qui mâa dĂ©livrĂ© des griffes du lion et de lâours, me dĂ©livrera des mains de ce Philistin. » Alors SaĂŒl lui dit Va, et que le Seigneur soit avec toi ! » Goliath sâĂ©tait dressĂ©, sâĂ©tait mis en marche et sâapprochait Ă la rencontre de David. Celui-ci sâĂ©lança et courut vers les lignes des ennemis Ă la rencontre du Philistin. Il plongea la main dans son sac, et en retira un caillou quâil lança avec sa fronde. Il atteignit le Philistin au front, le caillou sây enfonça, et Goliath tomba face contre terre. Osons dĂ©fier les gĂ©ants qui nous menacent Michel-Ange a fait de David une statue immense ! DĂ©fiance de la force brute ! Disproportion entre la force de Goliath et la faiblesse de David ! Mais, en prĂ©sence de Dieu, comme lâartiste le manifeste, le rapport sâinverse. JĂ©sus est le fils de David, car il fait triompher la vie de la mort, en dĂ©pit de sa propre fragilitĂ©. La fatalitĂ© est vaincue et ils sont nombreux Ă lâavoir expĂ©rimentĂ© Mandela a fait tomber lâapartheid et triompher le droit ; Jeanne dâArc, humble jeune fille de Lorraine, fait couronner un roi ; Gandhi renverse lâEmpire colonial britannique, avec la force de la non-violence, du jeĂ»ne et de la priĂšre ; Martin Luther King impose les droits civiques, alors quâil est noir, dans une sociĂ©tĂ© fondĂ©e et clivĂ©e par le racisme⊠Et tous ces anonymes qui, dans lâĂ©paisseur du quotidien, font avancer jour aprĂšs jour, lâhumanitĂ© jeunes mĂšres qui Ă©lĂšvent patiemment les enfants, aĂźnĂ©s confrontĂ©s au grand Ăąge, tĂ©moins fragiles mais victorieux de la vie qui passe, soignants qui, bien au-delĂ de leurs intĂ©rĂȘts, donnent vie, Ă©nergie et temps ; entrepreneurs visant de nouvelles activitĂ©s ; politiques qui voient lâhumanitĂ© de demain ; artistes qui transfigurent le rĂ©el pour en manifester toute la saveur ; bĂ©nĂ©voles qui proposent gratuitement leurs compĂ©tences⊠Alors, nous aussi, dans nos combats les plus quotidiens, voyons grand et large, osons y croire, mettons toutes nos forces, mĂȘme faibles, dans la balance ! Face aux Goliaths politiques, Ă lâinertie des administrations impersonnelles, des conjonctures dĂ©favorables, des marchĂ©s qui dĂ©priment, face aux monstres inhumains, dĂ©fions Ă notre tour la force brute pour offrir un autre visage, celui de lâinnocence, de la transparence, de lâespĂ©rance, de la confiance. Et avec tous nos petits et grands moyens mis en commun, nous ferons de grandes choses. Les soldats batailleront et Dieu remportera la victoire » ! MĂ©ditation enregistrĂ©e dans les studios de Radio RCF Bruxelles. RĂ©agir
Dune est un roman de science-fiction publiĂ© par l'Ă©crivain amĂ©ricain Frank Herbert en 1965. Il est paru sous la forme de deux tomes. Dune est le premier roman du cycle romanesque de Dune. Dune est considĂ©rĂ© comme un classique de la science-fiction. Outre ce roman, le cycle se forme des romans suivants Le Messie de Dune Les Enfants de Dune L'Empereur-Dieu de Dune Les HĂ©rĂ©tiques de Dune La Maison des MĂšresDes Ćuvres Ă©crites par d'autres auteurs, dont Brian Herbert et Kevin J. Anderson, s'inscrivent Ă©galement dans le cycle de Dune. Citations du livreModifier Tome 1Modifier Je ne connaĂźtrai pas la peur, car la peur tue l'esprit. La peur est la petite mort qui conduit Ă l'oblitĂ©ration totale. J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passĂ©e, je tournerai mon Ćil intĂ©rieur sur son chemin. Et lĂ oĂč elle sera passĂ©e, il n'y aura plus rien. Rien que moi.en I must not fear. Fear is the mind-killer. Fear is the little-death that brings total obliteration. I will face my fear. I will permit it to pass over me and through me. And when it has gone past I will turn the inner eye to see its path. Where the fear has gone there will be nothing. Only I will contre la peur selon le rituel du Bene Gesseriten Dune 1965, Frank Herbert, Ă©d. Ace, 1990 ISBN 0-441-17271-7, t. 1, chap. 1, p. 8 Citation choisie pour le 17 aoĂ»t 2011. L'espĂ©rance ternit l'observation. Tenter de comprendre Muad'Dib sans comprendre ses ennemis mortels, les Harkonnens, c'est tenter de voir la VĂ©ritĂ© sans connaĂźtre le Mensonge. C'est tenter de voir la LumiĂšre sans connaĂźtre les TĂ©nĂšbres. Cela ne peut ĂȘtre. Qui se soumet domine. ⊠celui qui gouverne doit apprendre Ă convaincre et non Ă obliger⊠Il doit construire l'Ăątre le plus chaud afin d'attirer auprĂšs de lui les meilleurs hommes⊠pour bien gouverner, il faut apprendre le langage du monde qui est le vĂŽtre et qui est diffĂ©rent sur chaque monde. On ne peut comprendre un processus en l'interrompant. La comprĂ©hension doit rejoindre le cheminement du processus et cheminer avec PremiĂšre Loi du Mentat. Si les vĆux Ă©taient des poissons, nous lancerions tous des filets. Mais les dangers n'acquiĂšrent une valeur que lorsqu'on a appris Ă les Duc Leto songeant aux dangers qui attendent Paul. Celui qui commande doit toujours paraĂźtre confiant. Cette foi est comme un fardeau sur mes Ă©paules. Je suis devant le danger et je ne dois pas le de Gurney Halleck aprĂšs son entrevue avec le Duc LĂ©to AtrĂ©ides. Toute la thĂ©orie du combat repose sur le risque calculĂ©. Mais lorsqu'on en arrive Ă risquer sa propre famille. Les Ă©lĂ©ments du calcul sont noyĂ©s dans⊠autre du Duc Leto AtrĂ©ides devant son fils. Leto le regarda. Et Kynes, rĂ©pondant Ă ce regard, se sentit soudain profondĂ©ment troublĂ© par tout ce qu'il venait de voir Le Duc s'inquiĂ©tait plus pour les hommes que pour l'Ă©pice. Pour sauver l'Ă©quipage de la chenille, il a risquĂ© sa vie et celle de son fils. Il a oubliĂ© la perte de cette chenille avec un simple geste. Mais cette menace sur la vie des hommes l'a mis en rage. Un tel chef pourrait s'assurer des loyautĂ© fanatiques. Il serait dur Ă abattre. Et Kynes admit, contre sa volontĂ©, contre ses jugements passĂ©s J'aime ce Duc. Lors d'une visite d'inspection d'une chenille d'extraction de l'Ăpice dans le dĂ©sert profond. La grandeur est une expĂ©rience passagĂšre. Jamais elle n'est stable. Elle dĂ©pend en partie de l'imagination humaine qui crĂ©e les mythes. La personne qui connaĂźt la grandeur doit percevoir le mythe qui l'entoure. Elle doit se montrer puissamment ironique. Ainsi, elle se garde de croire en sa propre prĂ©tention. En Ă©tant ironique, elle peut se mouvoir librement en elle-mĂȘme. Sans cette qualitĂ©, mĂȘme une grandeur occasionnelle peut dĂ©truire un de Les dits de Muad'Dib, par la Princesse Irulan. Les humains vivent mieux lorsque chacun d'eux est Ă sa place lorsque chacun d'eux sait oĂč il se situe dans le schĂ©ma des choses. DĂ©truisez cette place, vous dĂ©truirez la personneConfrontation entre Jessica et Thufir Hawat La dent ! N'oubliez pas la dent ! La dent !Le Docteur Yueh au Duc Leto L'existence est comme un bourdonnement trĂšs doux quand tant d'abeilles travaillent pour du Baron Harkonnen Tome 2Modifier En effet le Jihad ButlĂ©rien a créé une sociĂ©tĂ© fĂ©odale quelque peu du Tome 2. Regardez-moi cette loque, songea le Baron. VoilĂ ce dont je suis entourĂ© de lamentables rĂ©sidus inutiles. Si je jetais du sable devant lui en lui disant que c'est du blĂ©, il se baisserait pour le que pensait le Baron de Iakin Nefud, capitaine de la garde. La puissance et la peur⊠La puissance et la peur !PensĂ©es du Baron Comme l'esprit se forme Ă l'environnement, songea-t-elle. Un axiome Bene Gesserit lui revint Sous l'effet d'une tension, l'esprit va dans l'une ou l'autre direction positive ou nĂ©gative, dedans ou dehors. Concevez-le comme un spectre dont les extrĂȘmes seraient l'inconscient, nĂ©gatif, et l'hyper-conscient, positif. La façon dont l'esprit rĂ©agit sous la tension est fortement influencĂ©es par l'entraĂźnement reçu. »PensĂ©es de Jessica dans le dĂ©sert profond, lors de sa fuite avec Paul. Il sentit la bulle le soulever, lâemporter, Ă©clater. Le tourbillon de sable le prit, lâenveloppa, lâentraĂźna dans des tĂ©nĂšbres fraĂźches. Un instant, lâobscuritĂ©, lâhumiditĂ© lui furent agrĂ©ables. Puis, en cette seconde oĂč sa planĂšte le tuait, Kynes se dit que son pĂšre se trompait, comme les autres savants. Les principes permanents de l'univers demeuraient encore l'erreur, l' fin de Liet Kynes dans le dĂ©sert dâArrakis.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 103 Les dĂ©buts sont des moments dĂ©licats. Le prix de la corruption a un danger. Il tend Ă augmenter, de plus en le tribut en Ă©pice accordĂ© par les Fremens Ă la Guilde. fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 138 Il recula pour le voir sâeffondrer. Jamis tomba la face contre terre. Il Ă©mit un rĂąle, essaya de tourner son visage vers Paul puis demeura immobile. Ses yeux Ă©taient deux perles entre Jamis et Paul.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 159 Quel nom donnez-vous Ă la petite souris, celle qui saute ? » demanda-t-il, se souvenant des petits bruits de pattes dans le Bassin de Tuono et mimant de la main. Des rires sâĂ©levĂšrent parmi les Fremen. Nous lâappelons muad'dib », dit de Paul parmi les Fremen.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 162 Pourrais-je porter parmi vous le nom de Paul-Muad'dib ? » Tu es Paul-Muad'dib », fit Stilgar. ArrivĂ©e de Paul parmi les Fremen.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 163 Ne comptez point un humain au nombre des morts aussi longtemps que vous n'aurez pas vu son corps. Et mĂȘme alors, ce pourrait encore ĂȘtre une Bene Gesserit prononcĂ©e par Dame Fenring au Comte Fenring.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 224 Il entendit un bruissement d'Ă©toffe, pensa qu'Harah Ă©tait de retour avec son repas et se retourna. Il vit alors, derriĂšre quelques tentures dĂ©placĂ©es, deux jeunes garçons qui le regardaient avec des yeux avides. Ils avaient peut-ĂȘtre neuf ou dix ans et tous deux avaient une main posĂ©e sur la garde d'un petit krys, pareil Ă un kindjal. Il se souvint alors de ce qu'on disait Ă propos des Fremen, que les enfant se battaient avec la mĂȘme ardeur que les adultes. Un jouet ! Ne sois pas stupide. je sais comment le contrĂŽler. Il a des Ă©motions profondes, Feyd. C'est celui qui n'a pas d'Ă©motion qu'il faut craindre⊠Non, ceux qui ont des Ă©motions peuvent ĂȘtre soumis Ă nos Baron Harkonnen parlant de Thufir Hawat Ă Feyd-Rautha. Je me suis assis en face de bien des maĂźtres de Grandes Maisons, se dit Thufir Hawat, mais jamais encore devant un porc aussi Ă©norme et dangereux que que pense Thufir Hawat du Baron Vladimir Harkonnen. Il bavarde trop, se dit Hawat. Le Duc Leto, lui, pouvait me dire une chose d'un simple geste de la main, d'un haussement de sourcil. Et le vieux Duc exprimait toute une sentence en accentuant un seul mot. Quel rustre ! En le dĂ©truisant, je rendrai service Ă l' que pense Thufir Hawat du Baron Vladimir Harkonnen. Lorsque la religion et la politique voyagent dans le mĂȘme chariot, les voyageurs pensent que rien ne peut les arrĂȘter. Ils vont de plus en plus vite. Ils oublient alors qu'un prĂ©cipice se rĂ©vĂšle toujours trop Bene Gesserit Donne aussi peu d'ordre que possible, lui avait dit son pĂšre, autrefois. DĂšs que tu auras donnĂ© des ordres sur un sujet, tu devras sans cesse donner des ordres sur ce donnĂ© autrefois par le Duc Leto Ă Paul AtrĂ©ides. ContrĂŽlons la monnaie et les alliances. Que la racaille s'amuse du reste. » Ainsi dit l'Empereur Padishah. Et il ajoute Si vous voulez des profits, il faut rĂ©gner. » Il y a une certaine vĂ©ritĂ© dans ces paroles, mais pour ma part, je me demande OĂč est la racaille et oĂč sont les gouvernĂ©s ? »Message secret de Muad'Dib au Landsraad, extrait de LâĂveil d'Arrakis, par la Princesse Irulan. Quand la loi et le devoir ne font qu'un sous la religion, nul n'est vraiment conscient. Alors, on est toujours un peu moins qu'un de MuadâDib Les Quatre-vingt-dix-neuf Merveilles de l'univers, par la Princesse Irulan. Ă l'avenir, lorsque nous aurons affaire Ă des Sardaukar, souviens-toi de cela. Souviens-toi, aussi, que chacun d'eux possĂšde un ou deux faux orteils qui, avec certains dispositifs placĂ©s dans leurs corps, peuvent constituer un Ă©metteur. Ils ont Ă©galement plus d'une dent fausse. Dans leurs cheveux sont dissimulĂ©es des spires de shigavrille, si fines qu'il est difficile de les dĂ©celer mais assez solides pour permettre d'Ă©trangler un homme et mĂȘme de lui couper la tĂȘte. Avec les Sardaukar, il faut sonder, examiner centimĂštre par centimĂštre et couper le moindre poil. MĂȘme aprĂšs cela, tu peux ĂȘtre certain de n'avoir pas tout de Paul Ă Korba en ce qui concerne les Sardaukar. Ce sont ceux qui peuvent dĂ©truire une chose qui la contrĂŽlent de Paul Ă Gurney concernant le contrĂŽle de l'Ăpice. Combien de fois l'homme en colĂšre nie-t-il avec rage ce que lui souffle son moi intĂ©rieur ?Extrait de Les Dits de MuadâDib, par la princesse Irulan. Les prophĂštes ont l'habitude de pĂ©rir par la Bene Gesserit La tristesse est le prix de la Ă Chani quand Paul prit l'Eau de la Vie. Ces choses qui sont en nous sont si anciennes, dit Paul, qu'elles sont rĂ©parties dans chaque cellule de notre corps. Ce sont elles qui nous façonnent. Il est toujours possible de se dire Oui, je vois ce que peut ĂȘtre cette chose. Mais lorsque l'on regarde en soi-mĂȘme et que l'on se trouve confrontĂ© Ă la force brute de sa propre vie, on comprend le pĂ©ril. On comprend ce que cela peut vous submerger. Pour le Donneur, le plus grand pĂ©ril est la force qui prend. Pour le Preneur, c'est la force qui donne. il est aussi facile d'ĂȘtre emportĂ© par l'une que par l'autre. » Et toi, mon fils, dit Jessica, es-tu celui qui donne ou celui qui prend ? » Je suis le pivot. je ne peux donner sans prendre et je ne peut prendre sans⊠» Il est mort, bien-aimĂ©, dit Chani. notre fils est de Leto II, premier fils de Chani et de Paul AtrĂ©ides.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 477 Thufir est avec eux, Mon seigneur. je nâai pu le voir seul mais il mâa expliquĂ© avec nos anciens signes de code quâil avait travaillĂ© pour les Harkonnens et quâil vous avait cru mort. Il dit quâil doit rester avec Ă Paul.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 479 Ne sais-tu pas que la loyautĂ© des AtrĂ©ides s'achĂšte avec l'amour tandis que la monnaie d'Ă©change des Harkonnens est la haine ?Lors des retrouvailles entre Paul et Gurney Halleck. Citation choisie pour le 15 fĂ©vrier 2012. Paul trĂ©bucha comme le vieil homme sâeffondrait entre ses bras. Il reconnut la flacciditĂ© de la mort. Lentement, il Ă©tendit Hawat sur le sol, puis se redressa et, d'un geste, ordonna Ă ses gardes d'emporter le de Thufir Hawat.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 484 Ătre en mesure de dĂ©truire une chose revient Ă la contrĂŽler de façon aux deux navigateurs de la Guilde. OĂč est votre gom jabbar ? Essayer de plonger votre regard en ce lieu qu vous ne pouvez regarder ! vous m'y Ă la RĂ©vĂ©rende MĂšre GaĂŻus Helen Mohiam. Je me souviens de votre gom jabbar, dit Paul. Nâoubliez pas le mien. Dâun mot je peux vous Paul Ă Gaius Helen Mohiam.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 490 Chani sâapprocha Veux-tu que je me retire, Muad'dib ? » Il la regarda. Te retirer ? jamais tu ne quitteras mon cĂŽtĂ©. »Paul Ă Chani.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 491 Ne parle jamais que le langage de la vĂ©ritĂ© avec moi, ma Ă Chani.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 491 Allons-nous combattre enfin, cousin ?Paul Ă Feyd-Rautha Durant les premiers instants, Ă©tudie. Bien sĂ»r, tu perds ainsi la possibilitĂ© d'une victoire rapide, mais l'Ă©tude de l'adversaire est une assurance de succĂšs. Prends ton sa rappelant les conseils de Duncun Idaho. PiĂšge sur piĂšge, se dit Paul. Il utilisa le contrĂŽle Bene Gesserit pour relĂącher ses muscles afin de provoquer un rĂ©flexe de Feyd-Rautha mais essayant dâĂ©chapper Ă la menaçante pointe, il trĂ©bucha, tomba sur le sol et Feyd-Rautha sâabattit sur entre Paul et Feyd-Rautha.fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 505 Fenring Ă©tait un Kwisatz Haderach possible quâune faille du schĂ©ma gĂ©nĂ©tique avait rejetĂ©, un eunuque dont les talents Ă©taient furtifs, secrets, cachĂ©s. Il Ă©prouva alors une compassion profonde pour le Comte, un sentiment de fraternitĂ© que jamais encore il nâavait connu. fr Dune 1965, Frank Herbert trad. Michel Demuth, Ă©d. Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 1980 ISBN 2-266-11403-4, t. 2, p. 507 Dieu a créé Arrakis pour former les fidĂšles. On ne peut aller contre la parole de Fremen. Autres ĆuvresModifier La Guerre des machines 2003Modifier Eklo - Vous devez faire appel aux Ă©motions des masses.[...]Iblis - L'amour, la haine, la peur ? C'est ce que vous entendez par lĂ ?Eklo - Tels sont les composants, - Les composants ?Eklo - De la religion. Les machines sont trĂšs puissantes et il faudra plus qu'une simple insurrection politique ou sociale pour les vaincre. La population doit se fondre en une idĂ©e forte et unique bien plus profonde, qui a ses racines dans l'essence mĂȘme de son existence, dans ce que signifie ĂȘtre un humain. Vous devrez ĂȘtre plus qu'un servant un leader visionnaire. Les esclaves doivent se soulever en une vraie guerre sainte contre les machines, un jihad que rien n'arrĂȘtera jusqu'Ă ce que les maĂźtres actuels aient Ă©tĂ© - Une guerre sainte ? Un jihad ? Mais comment puis-je dĂ©clencher ça ?Eklo - Je ne fais que vous dire ce que je sens, Iblis Ginjo, ce que j'ai pensĂ© et vu. C'est Ă vous de trouver le reste des rĂ©ponses. NĂ©anmoins, sachez bien ceci de toutes les guerres que les humaines ont connues dans leur Histoire, le jihad est la plus passionnĂ©e. Elle conquiert les mondes et les civilisations en balayant tout sur son passage. fr Dune, la genĂšse, 1 - La Guerre des machines 2002, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2003 ISBN 2-266-11403-4, p. 492 L'Armada se retira du systĂšme solaire oĂč n'existait plus aucun humain, ni aucune machine. Laissant derriĂšre elle des continents vitrifiĂ©s, des villes fondues, des ocĂ©ans stĂ©riles, des calottes polaires scarifiĂ©es. fr Dune, la genĂšse, 1 - La Guerre des machines 2002, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2003 ISBN 2-266-11403-4, p. 802 Le Jihad ButlĂ©rien 2004Modifier La douleur est toujours plus intense que le plaisir... et s'impose plus Ă nos de la Vieille Terre fr Dune, la genĂšse, 2 - Le Jihad ButlĂ©rien 2003, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2004 ISBN 978-2-266-18378-9, p. 473 Le combat est une question de prĂ©cision et de timing, l'application parfaite des sens et des connaissances issus de l'expĂ©rience. fr Dune, la genĂšse, 2 - Le Jihad ButlĂ©rien 2003, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2004 ISBN 978-2-266-18378-9, p. 572 C'est ce qu'on laisse flotter qui a tendance Ă vous Agamemnon, Nouveaux MĂ©moires fr Dune, la genĂšse, 2 - Le Jihad ButlĂ©rien 2003, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2004 ISBN 978-2-266-18378-9, p. 575 IshmaĂ«l â Ă partir de ce jour nous nous appellerons les Fremen, les Hommes Libres d'Arrakis ! fr Dune, la genĂšse, 2 - Le Jihad ButlĂ©rien 2003, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2004 ISBN 978-2-266-18378-9, p. 859 La Bataille de Corrin 2005Modifier La science consiste Ă crĂ©er des dilemmes pour rĂ©soudre des Mohanda Suk,Discours devant une classe de diplĂŽmĂ©s fr Dune, la genĂšse, 3 - La Bataille de Corrin 2004, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2005 ISBN 978-2-266-19215-6, p. 160 Pour compenser ce rejet, Norma s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©e dans d'autres domaines, comme les mathĂ©matiques Ă©sotĂ©riques qui Ă©taient un domaine entre la physique et la philosophie. fr Dune, la genĂšse, 3 - La Bataille de Corrin 2004, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2005 ISBN 978-2-266-19215-6, p. 295 Vorian AtrĂ©ides - Les plus grands ennemis de l'humanitĂ© sont dĂ©sormais la bureaucratie et l'autosatisfaction. fr Dune, la genĂšse, 3 - La Bataille de Corrin 2004, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2005 ISBN 978-2-266-19215-6, p. 360 Les souvenirs sont nos armes les plus puissantes, et nos faux souvenirs les plus MĂ©moires fr Dune, la genĂšse, 3 - La Bataille de Corrin 2004, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2005 ISBN 978-2-266-19215-6, p. 432 Ses pensĂ©es remontĂšrent le temps, elle se souvint d'oasis de bonheur dans le dĂ©sert de la tourmente. Sa vie avait Ă©tĂ© consacrĂ©e au travail, Ă la recherche incessante, en Ă©change de quelques rares surprises heureuses que Dieu distribuait parfois. Mais elle avait rĂ©ussi Ă crĂ©er la diffĂ©rence, ce qui Ă©tait une rĂ©compense suffisante pour quiconque. fr Dune, la genĂšse, 3 - La Bataille de Corrin 2004, Brian Herbert et Kevin J. Anderson trad. Michel Demuth, Ă©d. Ăditions Robert Laffont, coll. Pocket science-fiction », 2005 ISBN 978-2-266-19215-6, p. 531 Article connexeModifier Dune film, 1984, adaptation cinĂ©matographique par David Lynch Dune film, 2021, adaptation cinĂ©matographique par Denis VilleneuveLiens externesModifier Vous pouvez Ă©galement consulter les articles suivants sur les autres projets WikimĂ©dia
28 octobre 2019 1 28 /10 /octobre /2019 1405 Marguerite Yourcenar, MĂ©moires dâHadrien RĂ©sumĂ© et citations Ă©tablis par Bernard MARTIAL, professeur de lettres-philosophie en CPGE et en 1Ăšre. Les rĂ©fĂ©rences renvoient Ă lâĂ©dition Folio n°921 Ce rĂ©sumĂ© ne remplace Ă©videmment pas la lecture intĂ©grale du texte VI. PATIENTIA LâĂźle dâAchille. Arrien mâĂ©crit il a terminĂ© la circumnavigation du Pont-Euxin. A Sinope, les reconnaissants des grands travaux de rĂ©fection et dâĂ©largissement du port mâont Ă©levĂ© une statue. Il a inspectĂ© les garnisons cĂŽtiĂšres dont les commandants mĂ©ritent les plus grands Ă©loges. Il a fait faire des rectifications des plans de la cĂŽte et sur la cĂŽte de Colchide, il a questionnĂ© les habitants au sujet des enchantements de MĂ©dĂ©e et des 295 exploits de Jason. Mais ils paraissent ignorer ces histoires⊠Sur la rive septentrionale de cette mer inhospitaliĂšre, ils ont touchĂ© une petite Ăźle bien grande dans la fable lâĂźle dâAchille, qui est aussi lâĂźle de Patrocle. Les innombrables ex-voto qui dĂ©corent les parois du temple sont dĂ©diĂ©s tantĂŽt Ă Achille, tantĂŽt Ă son ami, car, ceux qui aiment Achille chĂ©rissent et vĂ©nĂšrent la mĂ©moire de Patrocle. Achille lui-mĂȘme apparaĂźt en songe aux navigateurs qui visitent ces parages il les protĂšge et les avertit des dangers de la mer, comme le font ailleurs les Dioscures. Et lâombre de Patrocle apparaĂźt aux cĂŽtĂ©s dâAchille. [âŠ] Achille me semble parfois le plus grand des hommes par le courage, la force dâĂąme, les connaissances de lâesprit unies Ă lâagilitĂ© du corps, et son ardent amour pour son jeune compagnon. Et rien en lui ne me paraĂźt plus grand que le dĂ©sespoir qui lui fit mĂ©priser la vie et dĂ©sirer la mort quand il eut perdu le bien-aimĂ©. » Je laisse retomber sur mes genoux le volumineux rapport du gouverneur de la Petite-ArmĂ©nie, du chef de lâescadre. Arrien comme toujours a bien travaillĂ©. Mais, cette fois, il fait plus il mâoffre un don 296 nĂ©cessaire pour mourir en paix ; il me renvoie une image de ma vie telle que jâaurais voulu quâelle fĂ»t. Arrien sait que ce qui compte est ce qui ne figurera pas dans les biographies officielles, ce quâon nâinscrit pas sur les tombes ; il sait aussi que le passage du temps ne fait quâajouter au malheur un vertige de plus. Vue par lui, lâaventure de mon existence prend un sens, sâorganise comme dans un poĂšme ; [âŠ] Arrien mâouvre le profond empyrĂ©e des hĂ©ros et des amis il ne mâen juge pas trop indigne. » Je traĂźne mon corps vieilli dans la chambre de la Villa ; mon passĂ© me propose dâautres retraites oĂč jâĂ©chappe Ă mes misĂšres, lieux chers mais souvent associĂ©s aux prĂ©misses dâune erreur. La fatigue de mon corps se communique maintenant Ă ma mĂ©moire. Arrien mâoffre mieux. Ă Tibur, du sein dâun mois de mai brĂ»lant, jâĂ©coute sur les plages de lâĂźle dâAchille la longue plainte des vagues ; jâaspire son air pur et 297 froid ; jâerre sans effort sur le parvis du temple baignĂ© dâhumiditĂ© marine ; jâaperçois Patrocle⊠Ce lieu que je ne verrai jamais devient ma secrĂšte rĂ©sidence, mon suprĂȘme asile. Jây serai sans doute au moment de ma mort. » Tentation du suicide. Jâai donnĂ© jadis au philosophe EuphratĂšs la permission du suicide. Rien ne semblait plus simple un homme a le droit de dĂ©cider Ă partir de quel moment sa vie cesse dâĂȘtre utile. Je ne savais pas alors que la mort peut devenir lâobjet dâune ardeur aveugle, dâune faim comme lâamour. Je nâavais pas prĂ©vu ces nuits oĂč jâenroulerais mon baudrier autour de ma dague, pour mâobliger Ă rĂ©flĂ©chir Ă deux fois avant de mâen servir. Arrien seul a pĂ©nĂ©trĂ© le secret de ce combat sans gloire contre le vide, lâariditĂ©, la fatigue, lâĂ©cĆurement dâexister qui aboutit Ă lâenvie de mourir. On ne guĂ©rit jamais la vieille fiĂšvre mâa terrassĂ© Ă plusieurs reprises ; jâen tremblais dâavance, comme un malade averti dâun prochain accĂšs. Tout mâĂ©tait bon pour reculer lâheure de la lutte nocturne le travail, les conversations follement prolongĂ©es jusquâĂ lâaube, les baisers, les livres. Il est convenu quâun empereur ne se suicide que sâil y est acculĂ© par des raisons dâĂtat ; Marc Antoine lui-mĂȘme avait lâexcuse dâune bataille perdue. Et mon sĂ©vĂšre Arrien admirerait moins ce dĂ©sespoir rapportĂ© dâĂgypte si je nâen avais pas triomphĂ©. Mon propre code interdisait aux soldats cette sortie volontaire que jâaccordais aux sages ; je ne me sentais pas plus libre de dĂ©serter que le premier lĂ©gionnaire venu. Mais je sais ce que câest que dâeffleurer voluptueusement de la main lâĂ©toupe dâune corde ou le fil dâun couteau. Jâavais fini par faire de ma mortelle envie un rempart contre elle-mĂȘme la perpĂ©tuelle possibilitĂ© du suicide mâaidait Ă supporter moins impatiemment lâexistence, tout comme la prĂ©sence Ă portĂ©e de la main dâune potion sĂ©dative calme un homme atteint dâinsomnie. 298 Par une intime contradiction, cette obsession de la mort nâa cessĂ© de sâimposer Ă mon esprit que lorsque les premiers symptĂŽmes de la maladie sont venus mâen distraire ; jâai recommencĂ© Ă mâintĂ©resser Ă cette vie qui me quittait ; dans les jardins de Sidon, jâai passionnĂ©ment souhaitĂ© jouir de mon corps quelques annĂ©es de plus. On voulait mourir ; on ne voulait pas Ă©touffer ; la maladie dĂ©goĂ»te de la mort ; on veut guĂ©rir, ce qui est une maniĂšre de vouloir vivre. Mais la faiblesse, la souffrance, mille misĂšres corporelles dĂ©couragent bientĂŽt le malade dâessayer de remonter la pente on ne veut pas de ces rĂ©pits qui sont autant de piĂšges, de ces forces chancelantes, de ces ardeurs brisĂ©es, de cette perpĂ©tuelle attente de la prochaine crise. Je mâĂ©piais cette sourde douleur Ă la poitrine nâĂ©tait-elle quâun malaise passager, le rĂ©sultat dâun repas absorbĂ© trop vite, ou fallait-il sâattendre de la part de lâennemi Ă un assaut qui cette fois ne serait pas repoussĂ© ? Je nâentrais pas au SĂ©nat sans me dire que la porte sâĂ©tait peut-ĂȘtre refermĂ©e derriĂšre moi aussi dĂ©finitivement que si jâavais Ă©tĂ© attendu, comme CĂ©sar, par cinquante conjurĂ©s armĂ©s de couteaux. Durant les soupers de Tibur, je redoutais de faire Ă mes invitĂ©s lâimpolitesse dâun soudain dĂ©part ; jâavais peur de mourir au bain, ou dans de jeunes bras. Des fonctions qui jadis Ă©taient faciles, ou mĂȘme agrĂ©ables, deviennent humiliantes depuis quâelles sont devenues malaisĂ©es ; on se lasse du vase dâargent offert chaque matin Ă lâexamen du mĂ©decin. Le mal principal traĂźne avec soi tout un cortĂšge dâafflictions secondaires mon ouĂŻe a perdu son acuitĂ© dâautrefois ; hier encore, jâai Ă©tĂ© forcĂ© de prier PhlĂ©gon de rĂ©pĂ©ter toute une phrase jâen ai eu plus de honte que dâun crime. Les mois qui suivirent lâadoption dâAntonin furent affreux le sĂ©jour de BaĂŻes, le retour Ă Rome et les nĂ©gociations qui 299 lâaccompagnĂšrent avaient excĂ©dĂ© ce qui me restait de forces. Lâobsession de la mort me reprit, mais cette fois les causes en Ă©taient visibles, avouables ; mon pire ennemi nâen aurait pu sourire. Rien ne me retenait plus on eĂ»t compris que lâempereur, retirĂ© dans sa maison de campagne aprĂšs avoir mis en ordre les affaires du monde, prĂźt les mesures nĂ©cessaires pour faciliter sa fin. Mais la sollicitude de mes amis Ă©quivaut Ă une constante surveillance tout malade est un prisonnier. Je ne me sens plus la vigueur quâil faudrait pour enfoncer la dague Ă la place exacte, marquĂ©e jadis Ă lâencre rouge sous le sein gauche ; je nâaurais fait quâajouter au mal prĂ©sent un rĂ©pugnant mĂ©lange de bandages, dâĂ©ponges sanglantes, de chirurgiens discutant au pied du lit. Il me fallait mettre Ă prĂ©parer mon suicide les mĂȘmes prĂ©cautions quâun assassin Ă monter son coup. » Demande dâaide au suicide. Je sollicitai dâabord mon maĂźtre des chasses, Mastor, de mâaider Ă en finir. Tout dâabord, il ne comprit pas. Puis, la lumiĂšre se fit ; il fut Ă©pouvantĂ©. Il me croit immortel ; il mâarracha des mains son glaive, dont je mâĂ©tais saisi, et sâenfuit en hurlant. Le lendemain, je mâaperçus que CĂ©ler avait 300 remplacĂ© un style de mĂ©tal par un calame de roseau. Je me cherchai un meilleur alliĂ©. Je cherchais un autre alliĂ© en Iollas, jeune mĂ©decin dâAlexandrie quâHermogĂšne sâĂ©tait choisi lâĂ©tĂ© dernier comme substitut durant son absence. Il me comprit mais son serment hippocratique lâempĂȘchait de me donner du poison. Jâinsistai, il cĂ©da et promit enfin dâaller chercher la dose de poison. Quelques heures plus tard, on le retrouva victime de son propre poison. Le lendemain, Antonin arriva, en larmes, atterrĂ© de voir que je cherchais Ă en finir. Il voulait 301 aider Ă me soulager, se sentait responsable du reste de mes jours. Ces naĂŻves promesses mâapportĂšrent soulagement et rĂ©confort. Les simples paroles dâAntonin et le geste dâIolla me convainquirent dâaller jusquâau bout de mon mĂ©tier dâempereur. Patientia. Jâai vu hier Domitius Rogatus, devenu procurateur des monnaies, et chargĂ© de prĂ©sider Ă une nouvelle frappe ; jâai choisi cette lĂ©gende Patientia » qui sera mon dernier mot dâordre. Ma mort me semblait la plus personnelle de mes dĂ©cisions, mon suprĂȘme rĂ©duit dâhomme libre ; je me trompais. La foi de millions de Mastors ne doit pas ĂȘtre Ă©branlĂ©e ; dâautres Iollas ne seront pas mis Ă lâĂ©preuve. Jâai compris que le suicide paraĂźtrait au petit groupe dâamis dĂ©vouĂ©s qui mâentourent une marque dâindiffĂ©rence, dâingratitude peut-ĂȘtre ; je ne veux pas laisser Ă leur amitiĂ© cette image grinçante dâun suppliciĂ© incapable de supporter une torture de plus. Dâautres considĂ©rations se sont prĂ©sentĂ©es Ă moi, lentement, durant la nuit qui a suivi la mort dâIollas lâexistence mâa beaucoup donnĂ©, ou, du moins, jâai su beaucoup obtenir dâelle ; en ce moment, comme au temps de mon bonheur, et pour des raisons toutes contraires, il me paraĂźt quâelle nâa plus rien Ă mâoffrir je ne suis pas sĂ»r de nâavoir plus rien Ă en apprendre. JâĂ©couterai ses instructions secrĂštes jusquâau bout. Toute ma vie, jâai fait confiance Ă la sagesse de mon corps ; jâai tĂąchĂ© de goĂ»ter avec discernement les sensations que me procurait cet ami je me dois dâapprĂ©cier aussi les derniĂšres. 302 Je ne refuse plus cette agonie faite pour moi, cette fin lentement Ă©laborĂ©e au fond de mes artĂšres, hĂ©ritĂ©e peut-ĂȘtre dâun ancĂȘtre, nĂ©e de mon tempĂ©rament, prĂ©parĂ©e peu Ă peu par chacun de mes actes au cours de ma vie. Lâheure de lâimpatience est passĂ©e ; au point oĂč jâen suis, le dĂ©sespoir serait dâaussi mauvais goĂ»t que lâespĂ©rance. Jâai renoncĂ© Ă brusquer ma mort. » 303 Tout reste Ă faire. Mes domaines africains doivent devenir un modĂšle dâexploitation agricole ; les paysans du village de BorysthĂšnes ont droit Ă des secours au sortir dâun hiver pĂ©nible ; il faut par contre refuser des subsides aux riches cultivateurs quĂ©mandeurs de la vallĂ©e du Nil. Julius Vestinus, prĂ©fet des Ă©tudes, mâenvoie son rapport sur lâouverture des Ă©coles publiques de grammaire ; je viens dâachever la refonte du code commercial de Palmyre. On rĂ©unit en ce moment un congrĂšs de mĂ©decins et de magistrats chargĂ©s de statuer sur les limites extrĂȘmes dâune grossesse. Je statue sur les nombreux cas de bigamie dans les colonies militaires. Je compose lâinscription qui figurera sur le nouveau PanthĂ©on dâAthĂšnes 304. La lutte contre la brutalitĂ© judiciaire continue en rĂ©primandant le gouverneur de Cilicie qui sâavisait de faire pĂ©rir dans les supplices de simples voleurs de bestiaux. Jâai prohibĂ© la pratique de lâĂtat des municipalitĂ©s qui condamnaient facilement aux travaux forcĂ©s pour se procurer une main-dâĆuvre Ă bon marchĂ©. Jâai interdit aux prĂȘtres de Baal les sacrifices dâenfant en certains points du territoire de lâancienne Carthage. Jâai rĂ©parĂ© lâinjustice commise par nos tribunaux civils Ă lâĂ©gard des hĂ©ritiers des SĂ©leucides en Asie Mineure. En GrĂšce, le procĂšs dâHĂ©rode Atticus dure encore. La boĂźte aux dĂ©pĂȘches de PhlĂ©gon, ses grattoirs de pierre ponce et ses bĂątons de cire rouge seront avec moi jusquâau bout. Dieu thaumaturge. Ils continuent Ă me croire dieu au moment mĂȘme oĂč ils offrent au ciel des sacrifices pour le rĂ©tablissement de la SantĂ© Auguste. Cette croyance bienfaisante ne me paraĂźt pas insensĂ©e. Une vieille aveugle, arrivĂ©e Ă pied de Pannonie, a recouvrĂ© la vue par la simple imposition de mes mains. Dâautres prodiges se sont produits 305 ; des malades prĂ©tendent sâĂȘtre rĂ©veillĂ©s guĂ©ris, ou du moins soulagĂ©s. Je ne souris pas du contraste entre mes pouvoirs de thaumaturge et mon mal ; jâaccepte ces nouveaux privilĂšges avec gravitĂ©. Cette vieille aveugle cheminant vers lâempereur du fond dâune province barbare est devenue pour moi ce que lâesclave de Tarragone avait Ă©tĂ© autrefois lâemblĂšme des populations de lâempire que jâai rĂ©gies et servies. Leur immense confiance me repaie de vingt ans de travaux auxquels je ne me suis pas dĂ©plu. » Un Juif dâAlexandrie mâattribue des pouvoirs surhumains, rĂ©veillant les forces gĂ©nĂ©ratrices du sol, Ă©tablissant partout la prospĂ©ritĂ© et la paix, de lâinitiĂ© qui a relevĂ© les lieux saints de toutes les races, du connaisseur en arts magiques, du voyant qui plaça un enfant au ciel. Jâaurai Ă©tĂ© mieux compris par ce Juif enthousiaste que par bien des sĂ©nateurs et des proconsuls ; cet adversaire ralliĂ© complĂšte Arrien ; je mâĂ©merveille dâĂȘtre Ă la longue devenu pour certains yeux ce que je souhaitais dâĂȘtre, et que cette rĂ©ussite soit faite de si peu de chose. » La vieillesse et la mort toutes proches ajoutent dĂ©sormais leur majestĂ© Ă ce prestige ; on ne me compare plus au Zeus rayonnant mais au Mars Gradivus, dieu des longues campagnes et de lâaustĂšre discipline, au grave Numa inspirĂ© des dieux, et Ă Pluton, dieu des ombres. Seuls, quelques intimes, quelques amis Ă©prouvĂ©s et chers Ă©chappent Ă cette terrible contagion du respect. Le jeune avocat Fronton 306 sâest adressĂ© Ă moi dâune voix tremblante oĂč se mĂȘlait la rĂ©vĂ©rence et la crainte. Les joies tranquilles de lâamitiĂ© humaine ne sont plus pour moi ; ils mâadorent ; ils me vĂ©nĂšrent trop pour mâaimer. » Le culte dâAntinoĂŒs. Tout ce que jâai essayĂ© dâimplanter dans lâimagination humaine y a pris racine. Le culte dâAntinoĂŒs, la plus folle de mes entreprises, le dĂ©bordement dâune douleur qui ne concernait que moi seul a rencontrĂ© le goĂ»t dâune Ă©poque avide de dieux. Ă Delphes, lâenfant est devenu lâHermĂšs gardien du seuil, maĂźtre des passages obscurs qui mĂšnent chez les ombres. Ăleusis en fait le jeune Bacchus des MystĂšres, prince des rĂ©gions limitrophes entre les sens et lâĂąme. LâArcadie ancestrale lâassocie Ă Pan et Ă Diane, divinitĂ©s des bois ; les paysans de Tibur lâassimilent au doux AristĂ©e, roi des abeilles. En Asie, Ă lâorĂ©e des pays barbares, AntinoĂŒs sâest confondu avec les divinitĂ©s ancestrales. La jeune figure mâĂ©chappe ; elle cĂšde aux aspirations des cĆurs simples par un de ces rĂ©tablissements inhĂ©rents Ă la nature des choses, lâĂ©phĂšbe sombre et dĂ©licieux est devenu pour la piĂ©tĂ© populaire lâappui des 307 faibles et des pauvres, le consolateur des enfants morts. » Le profil du garçon de quinze ans pend au cou des nouveau-nĂ©s en guise dâamulette ; on le cloue dans des cimetiĂšres de village sur de petites tombes. Je pensais que son souvenir sombrerait avec moi. Mais il est entrĂ© dans lâimmortalitĂ©. Fidus Aquila, gouverneur dâAntinoĂ©, en route pour son nouveau poste de SarmizĂ©gĂ©thuse, mâa dĂ©crit les rites annuels cĂ©lĂ©brĂ©s au bord du Nil en lâhonneur du dieu mort, les pĂšlerins venus par milliers des rĂ©gions du Nord et du Sud, les offrandes et les priĂšres ; tous les trois ans, des jeux anniversaires ont lieu Ă AntinoĂ©, comme aussi Ă Alexandrie, Ă MantinĂ©e, et dans ma chĂšre AthĂšnes. Ces fĂȘtes triennales se renouvelleront cet automne, mais je nâespĂšre pas durer jusquâĂ ce neuviĂšme retour du mois dâAthyr. On mâa reprochĂ© dâavoir composĂ© moi-mĂȘme certaines rĂ©ponses Ă lâoracle du mort 308 comme on sâest Ă©tonnĂ© quâici, dans la Villa, autour de cette chapelle de Canope oĂč son culte se cĂ©lĂšbre Ă lâĂ©gyptienne, jâaie laissĂ© sâĂ©tablir les pavillons de plaisir du faubourg dâAlexandrie qui porte ce nom, leurs facilitĂ©s, leurs distractions que jâoffre Ă mes hĂŽtes et auxquelles il mâarrivait de prendre part. Il avait pris lâhabitude de ces choses-lĂ . Et on ne sâenferme pas pendant des annĂ©es dans une pensĂ©e unique sans y faire rentrer peu Ă peu toutes les routines dâune vie. Jâai fait tout ce quâon recommande. Jâai attendu jâai parfois priĂ©. Audivi voces divinas⊠La sotte Julia Balbilla croyait entendre Ă lâaurore la voix mystĂ©rieuse de Memnon jâai Ă©coutĂ© les bruissements de la nuit. Jâai fait les onctions de miel et dâhuile de rose qui attirent les ombres ; jâai disposĂ© le bol de lait, la poignĂ©e de sel, la goutte de sang, support de leur existence dâautrefois. Je me suis Ă©tendu sur le pavement de marbre du petit sanctuaire ; la lueur des astres se faufilait par les fentes mĂ©nagĂ©es dans la muraille, mettait çà et lĂ des miroitements, dâinquiĂ©tants feux pĂąles. Je me suis rappelĂ© les ordres chuchotes par les prĂȘtres Ă lâoreille du mort, lâitinĂ©raire gravĂ© sur la tombe Et il reconnaĂźtra la route⊠Et les gardiens du seuil le laisseront passer⊠Et il ira et viendra autour de ceux qui lâaiment pour des millions de jours⊠Parfois, Ă de longs intervalles, jâai cru sentir lâeffleurement dâune approche, un attouchement lĂ©ger comme le contact des cils, tiĂšde comme lâintĂ©rieur dâune paume. Et lâombre 209 de Patrocle apparaĂźt aux cĂŽtĂ©s dâAchille⊠Je ne saurai jamais si cette chaleur, cette douceur nâĂ©manaient pas simplement du plus profond de moi-mĂȘme, derniers efforts dâun homme en lutte contre la solitude et le froid de la nuit. Mais la question, qui se pose aussi en prĂ©sence de nos amours vivants, a cessĂ© de mâintĂ©resser aujourdâhui il mâimporte peu que les fantĂŽmes Ă©voquĂ©s par moi viennent des limbes de ma mĂ©moire ou de ceux dâun autre monde. Mon Ăąme, si jâen possĂšde une, est faite de la mĂȘme substance que les spectres ; ce corps aux mains enflĂ©es, aux ongles livides, cette triste masse Ă demi dissoute, cette outre de maux, de dĂ©sirs et de songes, nâest guĂšre plus solide ou plus consistant quâune ombre. Je ne diffĂšre des morts que par la facultĂ© de suffoquer quelques moments de plus ; leur existence en un sens me paraĂźt plus assurĂ©e que la mienne. AntinoĂŒs et Plotine sont au moins aussi rĂ©els que moi. » MĂ©ditations de la mort, rĂȘves et prĂ©sages. La mĂ©ditation de la mort nâapprend pas Ă mourir ; elle ne rend pas la sortie plus facile, mais la facilitĂ© nâest plus ce que je recherche. Petite figure boudeuse et volontaire, ton sacrifice nâaura pas enrichi ma vie, mais ma mort. Le monde des vivants ne nous intĂ©resse plus. Je nâadhĂšre pas plus aux thĂ©ories des prĂȘtres Ă©gyptiens sur lâimmortalitĂ© 310 quâĂ celle du nĂ©ant. Jâobserve ma fin. Je suis ce que jâĂ©tais ; je meurs sans changer [âŠ]. Si quelques siĂšcles venaient par miracle sâajouter au peu de jours qui me restent, je referais les mĂȘmes choses, et jusquâaux mĂȘmes erreurs, je frĂ©quenterais les mĂȘmes Olympes et les mĂȘmes Enfers. Une pareille constatation est un excellent argument en faveur de lâutilitĂ© de la mort, mais elle mâinspire en mĂȘme temps des doutes quant Ă sa totale efficacitĂ©. » Durant certaines pĂ©riodes de ma vie, jâai notĂ© mes rĂȘves. Cette facultĂ© de rĂȘver, 311 mâa Ă©tĂ© rendue au cours de ces mois dâagonie ; je mâenfonce avec quelque douceur dans ces rĂ©gions vaines des songes ; jây possĂšde pour un instant certains secrets qui bientĂŽt mâĂ©chappent ; jây bois Ă des sources. » Jâai revu le lion blessĂ© de lâoasis dâAmmon ; il mâa jetĂ© Ă terre ; je me suis rĂ©veillĂ© dans ma chambre de Tibur. Jâai revu mon pĂšre dans notre maison dâItalica et je lui ai demandĂ© ses potions sĂ©datives. Les prĂ©sages aussi se multiplient une pierre brisĂ©e portant mon profil. Il mâarrive de parler de moi au passĂ© 312 les morts dont je parle semblent ĂȘtre moi-mĂȘme. Au cours dâun rite, la toge qui me couvrait le front retomba sur mon Ă©paule me laissant nu tĂȘte ; je passais ainsi du rang de sacrificateur Ă celui de victime. En vĂ©ritĂ©, câest bien mon tour. » Apaisement. Ma patience porte ses fruits. Moins de souffrance, moins de colĂšre. Je nâai mĂȘme pas essayĂ© de confondre Platorius NĂ©pos qui a abusĂ© de ma confiance. Lâavenir du monde ne mâinquiĂšte plus ; je laisse les dieux sâoccuper de la paix romaine. Parce que jâattends peu de choses de la condition humaine, les pĂ©riodes de bonheur et de prospĂ©ritĂ© 313 me semblent autant de prodiges qui compensent presque lâimmense masse des maux et des Ă©checs. Le dĂ©sordre et lâordre, la paix et la guerre alterneront ; les mots de libertĂ©, dâhumanitĂ©, de justice retrouveront çà et lĂ le sens que nous avons tentĂ© de leur donner. Nos livres ne pĂ©riront pas tous ; on rĂ©parera nos statues brisĂ©es ; dâautres coupoles et dâautres frontons naĂźtront de nos frontons et de nos coupoles ; quelques hommes penseront, travailleront et sentiront comme nous jâose compter sur ces continuateurs placĂ©s Ă intervalles irrĂ©guliers le long des siĂšcles, sur cette intermittente immortalitĂ©. Si les barbares sâemparent jamais de lâempire du monde, ils seront forcĂ©s dâadopter certaines de nos mĂ©thodes ; ils finiront par nous ressembler. Chabrias sâinquiĂšte de voir un jour le pastophore de Mithra ou lâĂ©vĂȘque du Christ sâimplanter Ă Rome et y remplacer le Grand Pontife. Si par malheur ce jour arrive, mon successeur le long de la berge vaticane aura cessĂ© dâĂȘtre le chef dâun cercle dâaffiliĂ©s ou dâune bande de sectaires pour devenir Ă son tour une des figures universelles de lâautoritĂ©. Il hĂ©ritera de nos palais et de nos archives ; il diffĂ©rera de nous moins quâon ne pourrait le croire. Jâaccepte avec calme ces vicissitudes de Rome Ă©ternelle. » La fin. Les mĂ©dicaments nâagissent plus ; mes jambes enflent. Je console Antonin. Je suis content dâavoir ma luciditĂ© jusquâau bout 314 et de nâavoir pas Ă faire lâĂ©preuve du grand Ăąge. Tout est prĂȘt lâaigle chargĂ© de porter aux dieux lâĂąme de lâempereur est tenu en rĂ©serve pour la cĂ©rĂ©monie funĂšbre. Mon mausolĂ©e, sur le faĂźte duquel on plante en ce moment les cyprĂšs destinĂ©s Ă former en plein ciel une pyramide noire, sera terminĂ© Ă peu prĂšs Ă temps pour le transfert des cendres encore chaudes. Jâai priĂ© Antonin quâil y fasse ensuite transporter Sabine ; jâai nĂ©gligĂ© de lui faire dĂ©cerner Ă sa mort les honneurs divins, qui somme toute lui sont dus ; il ne serait pas mauvais que cet oubli fĂ»t rĂ©parĂ©. Et je voudrais que les restes dâĂlius CĂ©sar soient placĂ©s Ă mes cĂŽtĂ©s. » Ils mâont emmenĂ© Ă BaĂŻes ; par ces chaleurs de juillet, le trajet a Ă©tĂ© pĂ©nible, mais je respire mieux au bord de la mer. Jâai envoyĂ© chercher Antonin. Le petit groupe des intimes se presse Ă mon chevet Chabrias, CĂ©ler, Diotime 315. Je sens sous mes doigts des pleurs dĂ©licieux. Hadrien jusquâau bout aura Ă©tĂ© humainement aimĂ©. Petite Ăąme, Ăąme tendre et flottante, compagne de mon corps, qui fut ton hĂŽte, tu vas descendre dans ces lieux pĂąles, durs et nus, oĂč tu devras renoncer aux jeux dâautrefois. Un instant encore, regardons ensemble les rives familiĂšres, les objets que sans doute nous ne reverrons plus⊠TĂąchons dâentrer dans la mort les yeux ouverts. » 316 AU DIVIN HADRIEN AUGUSTE FILS DE TRAJAN CONQUĂRANT DES PARTHES PETIT-FILS DE NERVA GRAND PONTIFE REVĂTU POUR LA XXIIe FOIS DE LA PUISSANCE TRIBUNITIENNE TROIS FOIS CONSUL DEUX FOIS TRIOMPHANT PĂRE DE LA PATRIE ET Ă SA DIVINE ĂPOUSE SABINE ANTONIN LEUR FILS A LUCIUS ĂLIUS CĂSAR FILS DU DIVIN HADRIEN DEUX FOIS CONSUL POT ETHIQUE A LENTS TICS - dans LycĂ©e
Dieu Donne Les Plus Durs Combats Ă Ses Plus Forts Soldats - Degoutage Photos Facebook. Si tu es absent lors de mes combats n'espĂšre pas. Dieu donne ses plus durs combats Ă ses plus forts soldats. vrai, si tu es Ă©prouver aujourd'hui, si tu pleures chaque soir, saches que ce n'est que pour un temps. 20 10 cite dieu donne la victoire au combat pour la liberte contre ceux qui luttent pour leurs pri the truth sets free channel. HĂ©ritier wata dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. Dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. Mar 27 aoĂ»t 2013, 1136 cloelia Dieu donne ses plus durs combats Ă ses plus forts soldats. vrai, si tu es Ă©prouver aujourd'hui, si tu pleures chaque soir, saches que ce n'est que pour un temps. Ă nous deux maman, nous Ă©tions une armĂ©e. dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. Dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. 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GrĂące Ă dieu nous avions trouvĂ© la force de tout surmonter, nous sommes restĂ©s ensembles, unis quelques soient les combats ne dit on pas que dieu donne ses plus durs combats Ă ses meilleurs soldats Ă nous deux maman, nous Ă©tions une armĂ©e đȘđŒ tant de chemins parcourus cette photo est un trĂ©sor, mon trĂ©sor le plus prĂ©cieux. 20 10 cite dieu donne la victoire au combat pour la liberte contre ceux qui luttent pour leurs pri the truth sets free channel. Log in or sign up to leave a comment log in. A Ă©tĂ© choisi parmi ces frĂšres et en avait recu l'information sur sa destinĂ©e en songe ce qui lui a valut la jalousie de ces frĂšres et menĂ© Ă l'esclavage, Ă la prison. Ven 18 septembre 2015, 1900 invitĂ© Commenter postĂ© le mardi 27 mai 2014 0324. Comment ĂȘtre heureux je pense Ă toi citations sur le combat les plus belles. ~ demi lovato a donnĂ© plus de 1 000 000$ au japon en 2011. dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. 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Dieu donne ses plus durs combats Ă ses plus forts soldats Premiere Guerre Mondiale La Censure Pour Masquer La Realite Des Combats Geo Fr from EnregistrĂ©e par anne ayello grigis đȘđŒ tant de chemins parcourus. ~ demi lovato a donnĂ© plus de 1 000 000$ au japon en 2011. Dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. Dieu donne ses plus durs combats Ă ses plus forts soldats La nature magique de l'amour fait que nous ne puissions pas le forcer Ă apparaĂźtre quand nous le. đ s t r o n g e r đ dieu donne ces plus durs combats Ă ces plus forts soldats! et je rajouterai qu'il les prĂ©vient toujours avant le combat afin qu'ils puissent se prĂ©parer pour la victoire. Ă nous deux maman, nous Ă©tions une armĂ©e. Tatouage dieu donne ses plus durs combats a les plus forts soldats free tatouage dieu donne ses plus durs combats a les plus forts soldats free tatouage dieu donne ses plus durs combats a les plus forts soldats. Dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. HĂ©ritier wata dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats Jesus promet de liberer le togo de ses propres mains. 20 10 cite dieu donne la victoire au combat pour la liberte contre ceux qui luttent pour leurs pri the truth sets free channel. Dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. Garde la tĂȘte haute et prends courage, dieu donne les batailles les plus dures Ă ses soldats les plus forts ! Versets biblique sur la victoire puisque tout ce qui. dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. See more of dieu donne les plus durs combats Ă ses plus forts soldats. Ă nous deux maman, nous Ă©tions une armĂ©e. Soldat de dieu et serviteur de dieu Attend mon fils/ ma fille tu a besoin de passĂ© par cette Ă©preuve, par ce problĂšme pour que que je te bĂ©nisse encore plus. đȘđŒ tant de chemins parcourus.
Socrate Ă©tait un philosophe grec classique athĂ©nien crĂ©ditĂ© comme l'un des fondateurs de la philosophie occidentale, et comme Ă©tant le premier philosophe moral, de la tradition Ă©thique occidentale de la pensĂ©e. Figure Ă©nigmatique, il n'a Ă©crit aucun Ă©crit et est principalement connu par les rĂ©cits d'Ă©crivains classiques Ă©crivant aprĂšs sa vie, en particulier ses Ă©tudiants Platon et XĂ©nophon. Les dialogues de Platon sont parmi les rĂ©cits les plus complets de Socrate Ă avoir survĂ©cu depuis l' Ă sa reprĂ©sentation dans les dialogues de Platon, Socrate est devenu cĂ©lĂšbre pour sa contribution aux domaines de l'Ă©thique et de l'Ă©pistĂ©mologie. Socrate a exercĂ© une forte influence sur les philosophes de l'AntiquitĂ© tardive et de l'Ăšre moderne. Les reprĂ©sentations de Socrate dans l'art, la littĂ©rature et la culture populaire ont fait de lui l'une des figures les plus connues de la tradition philosophique occidentale. Certaines des meilleures citations de Socrates sont Ă©numĂ©rĂ©es ci-dessous. "Sois comme tu souhaites paraĂźtre." - Socrate"Soyez gentil, car tous ceux que vous rencontrez se livrent une dure bataille." - SocrateâSoyez plus gentil que nĂ©cessaire pour tous ceux que vous rencontrez. Tout le monde se bat une sorte de bataille. " - Socrate"Ayez bon courage pour la mort et sachez-le comme une vĂ©ritĂ©, qu'aucun mal ne peut arriver Ă un homme bon, que ce soit dans la vie ou aprĂšs la mort." - Socrate"Soyez le genre de personne que vous voulez que les gens pensent que vous ĂȘtes." - Socrate"Ne faites pas aux autres ce qui vous met en colĂšre si d'autres vous le faisaient." - Socrate"Utilisez votre temps pour vous amĂ©liorer grĂące aux Ă©crits d'autres hommes, de sorte que vous puissiez facilement gagner ce que les autres ont travaillĂ© dur." - Socrate"Amusez-vous - c'est plus tard que vous ne le pensez." - Socrate"Chaque action a ses plaisirs et son prix." - SocrateTout le monde veut vous dire quoi faire et ce qui est bon pour vous. Ils ne veulent pas que vous trouviez vos propres rĂ©ponses, ils veulent que vous croyiez les leurs. " - SocrateTomber n'est pas un Ă©chec. L'Ă©chec survient lorsque vous restez lĂ oĂč vous ĂȘtes tombĂ©. " - Socrate"Les fausses paroles ne sont pas seulement mauvaises en elles-mĂȘmes, mais elles infectent l'Ăąme avec le mal." - Socrate"C'est un homme de courage qui ne fuit pas, mais reste Ă son poste et se bat contre l'ennemi." - Socrate"Il est le plus riche qui se contente du moins, car le contenu est la richesse de la nature." - Socrate"Celui qui ne se contente pas de ce qu'il a, ne se contente pas de ce qu'il voudrait avoir." - Socrate"Je m'appelle un guerrier pacifique parce que les batailles que nous livrons se dĂ©roulent Ă l'intĂ©rieur." - SocrateJe ne peux rien enseigner Ă personne. Je ne peux que leur faire rĂ©flĂ©chir. - Socrate"Je sais que vous ne me croirez pas, mais la plus haute forme d'excellence humaine consiste Ă se remettre en question, soi-mĂȘme et les autres." - SocrateSi vous n'obtenez pas ce que vous voulez, vous souffrez; si vous obtenez ce que vous ne voulez pas, vous souffrez; mĂȘme lorsque vous obtenez exactement ce que vous voulez, vous souffrez toujours parce que vous ne pouvez pas le conserver pour toujours. Votre esprit est votre situation. Il veut ĂȘtre libre de tout changement. Libre de douleur, libre des obligations de la vie et de la mort. Mais le changement est la loi et aucune prĂ©tention ne modifiera cette rĂ©alitĂ©. " - SocrateâSi vous voulez ĂȘtre un bon sellier, sellez le pire cheval; car si vous pouvez en apprivoiser un, vous pouvez tout apprivoiser. " - Socrate"Il vaut mieux changer d'opinion que de persister dans une mauvaise." - Socrate"Ce n'est pas la vie qui compte, mais bien vivre." - Socrate"Connais toi toi mĂȘme" - SocrateLa vie est pleine de questions. Les idiots sont pleins de rĂ©ponses. - Socrate"Mon ami ... prends soin de ton psychisme ... connais-toi toi-mĂȘme, car une fois que nous nous connaissons nous-mĂȘmes, nous pouvons apprendre Ă prendre soin de nous-mĂȘmes." - Socrate"La nature nous a donnĂ© deux oreilles, deux yeux et une seule langue - pour que nous puissions entendre et voir plus que nous ne parlons." - SocrateAucun homme n'a le droit d'ĂȘtre un amateur en matiĂšre d'entraĂźnement physique. C'est honteux pour un homme de vieillir sans voir la beautĂ© et la force dont son corps est capable. " - Socrate"Rien ne doit ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ© devant la justice." - SocrateCelui qui est blessĂ© ne devrait pas rendre la blessure, car en aucun cas il ne peut ĂȘtre juste de faire une injustice; et il n'est pas juste de rendre une blessure ou de faire du mal Ă un homme, peu importe combien nous avons souffert de lui. - Socrate"Nos priĂšres devraient ĂȘtre pour les bĂ©nĂ©dictions en gĂ©nĂ©ral, car Dieu sait mieux ce qui est bon pour nous." - Socrate"PrĂ©fĂ©rez le savoir Ă la richesse, l'un est transitoire, l'autre perpĂ©tuel." - SocrateRappelez-vous qu'aucune condition humaine n'est jamais permanente. Alors vous ne serez pas fous de joie en bonne fortune ni trop dĂ©daigneux en malheur. " - Socrate"Rappelez-vous, aucune condition humaine n'est jamais permanente." - Socrate"Le silence est une mĂ©lodie profonde, pour ceux qui l'entendent avant tout le bruit." - Socrate"Les calomniateurs ne me font pas mal parce qu'ils ne me frappent pas." - Socrate"Les gens intelligents apprennent de tout et de tout le monde, les gens ordinaires de leurs expĂ©riences, les gens stupides ont dĂ©jĂ toutes les rĂ©ponses." - SocrateParfois, on pose des murs non pas pour empĂȘcher les gens d'entrer, mais pour voir qui se soucie assez de les faire tomber." - Socrate"Les esprits forts discutent des idĂ©es, les esprits moyens discutent des Ă©vĂ©nements, les esprits faibles discutent des gens." - Socrate"Le moyen le plus facile et le plus noble n'est pas d'Ă©craser les autres, mais de vous amĂ©liorer." - Socrate"Moins nous voulons, plus nous ressemblons aux dieux." - Socrate"La meilleure façon de vivre avec honneur dans ce monde est d'ĂȘtre ce que nous prĂ©tendons ĂȘtre." - Socrate"Les plus hauts domaines de la pensĂ©e sont impossibles Ă atteindre sans avoir au prĂ©alable acquis une comprĂ©hension de la compassion." - SocrateLe mental est tout; ce que tu penses devenir. " - Socrate"Le seul bien est la connaissance et le seul mal est l'ignorance." - Socrate"La seule vraie sagesse est de savoir que vous ne savez rien." - Socrate"Le secret du changement est de concentrer toute votre Ă©nergie, non pas Ă combattre l'ancien, mais Ă construire le nouveau." - SocrateLe secret du bonheur, voyez-vous, ne se trouve pas dans la recherche de plus, mais dans le dĂ©veloppement de la capacitĂ© de profiter moins." - SocrateLe moyen le plus court et le plus sĂ»r de vivre dans lâhonneur dans le monde est dâĂȘtre en rĂ©alitĂ© ce que nous semblons ĂȘtre; et si nous observons, nous constaterons que toutes les vertus humaines s'accroissent et se renforcent par leur pratique. " - Socrate"La valeur d'un homme se mesure au nombre de ceux qui se tiennent Ă ses cĂŽtĂ©s, pas Ă ceux qui le suivent." - Socrate"La maniĂšre de gagner une bonne rĂ©putation est d'essayer d'ĂȘtre ce que vous dĂ©sirez voir apparaĂźtre." - Socrate"Il existe deux types de maladie de l'Ăąme, le vice et l'ignorance." - Socrate"Il n'y a pas de possession plus prĂ©cieuse qu'un bon et fidĂšle ami." - SocrateIl nâya quâun seul bien la connaissance; et un seul mal - l'ignorance. " - Socrate"Ils ne sont pas seulement des oisifs qui ne font rien, mais ils sont aussi des oisifs qui pourraient ĂȘtre mieux employĂ©s." - Socrate"Ne pense pas aux fidĂšles qui louent toutes tes paroles et tous tes actes, mais Ă ceux qui rĂ©pĂštent gentiment tes fautes." - Socrate"Ceux qui sont les plus difficiles Ă aimer, en ont le plus besoin." - Socrate"Pour vous trouver, pensez par vous-mĂȘme." - Socrate"Pour dĂ©placer le monde, nous devons nous dĂ©placer nous-mĂȘmes." - Socrate"La vraie sagesse nous est donnĂ©e Ă chacun lorsque nous rĂ©alisons Ă quel point nous comprenons peu la vie, nous-mĂȘmes et le monde qui nous entoure." - Socrate"Comprendre une question est la moitiĂ© de la rĂ©ponse." - SocrateNous pouvons facilement pardonner Ă un enfant qui a peur du noir; la vraie tragĂ©die de la vie est quand les hommes ont peur de la lumiĂšre. " - Socrate"Nous ne pouvons pas vivre mieux que de chercher Ă devenir meilleur." - Socrate"Combien de choses il y a un homme peut faire sans." - Socrate"Ce qui nous bousille le plus dans la vie, c'est l'image dans notre tĂȘte de ce qu'elle est censĂ©e ĂȘtre." - Socrate"Quand le dĂ©bat est perdu, la calomnie devient l'outil du perdant." - Socrate"La sagesse commence Ă merveille." - SocrateLes gens sans valeur ne vivent que pour manger et boire; les gens de valeur mangent et boivent seulement pour vivre. - Socrate
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