Volau-dessus d’un nid de coucou « Le Hongre pie; UBU Roi » Date : dimanche 12 juin 2022 . Heure : 15h00 Lieu : Salle Renée Prévert . Troupe : Les Arts maniaques . Prix : 2€ à 4€ Dans le cadre du festival Théâtre ici et là ! Une pièce de Dale Wasserman Jusqu’à quel point le pouvoir a-t-il le droit de « casser » des individus qui contestent les règles imposées ? Lethéâtre déploie ses ailes. Plongée en apnée au c?ur d'un hôpital psychiatrique, où l'arrivée d'un nouveau pensionnaire va rapidement perturber l'apparente tranquillité qui y règne. Débute alors l'âpre Théâtre Jean Vilar, le jeudi 10 mai 2012 291 Vol au-dessus d'un nid de coucou (titre original : One Flew Over the Cuckoo's Nest ), appelé avant la sortie de l’adaptation en film La machine à brouillard est un roman de Ken Kesey paru en 1962. L'intrigue se déroule dans un hôpital psychiatrique dans l' Oregon, aux États-Unis . Encore un vrai défi pour Bernard de se retrouver au printemps prochain dans une salle parisienne pour fêter les 20 ans de Vol au-dessus d'un nid de coucou", a-t-il écrit sur le réseau social. Bernard Tapie avait débuté sa carrière sur scène en 2011 en endossant le rôle de McMurphy, joué par Jack Nicholson dans le célèbre film de Milos Forman. Lesexclamateurs présentent Vol au dessus d'un nid de coucou de Ken Kesey, adapté au théâtre par Dale Wasserman, traduit par Jacques Sigurd, dans une . Les exclamateurs présentent Vol au dessus d'un nid de coucou de Ken Kesey, adapté au théâtre par Dale Wasserman, traduit par Jacques Sigurd, dans une . Toutes les sorties à Montréal. Connexion MilošForman est décédé le 13 avril 2018, à l'âge de 86 ans. Kalindi pense à lui et rend hommage à son chef-d'oeuvre Vol au-dessus d'un nid de coucou, dans son classique de la semaine. 7v9U5. Bernard Tapie de retour au théâtre malgré son cancer Au printemps prochain, l'ancien patron de l'Olympique de Marseille incarnera McMurphy, le criminel légendaire de "Vol au-dessus d'un nid de coucou". NurPhoto via Getty Images Alors qu'il lutte actuellement contre un violent cancer, Bernard Tapie prévoit déjà de remonter sur scène au printemps, dans une nouvelle adaptation de "Vol au-dessus d'un nid de coucou". NurPhoto via Getty Images CULTURE - “Encore un vrai défi pour Bernard...” Alors qu’il a récemment confié que ses derniers examens médicaux n’étaient “pas très bons”, Bernard Tapie ne laisse pas le pessimisme le gagner. La preuve il compte remonter sur les planches au printemps prochain. Voilà ce qu’a fait savoir l’ancien homme d’affaires, quelques jours après avoir confié que le cancer contre lequel il lutte depuis deux ans continuait de progresser et que ses poumons étaient désormais atteints. Début 2020, il compte fêter les vingt ans de l’adaptation de “Vol au-dessus d’un nid de coucou” dans une salle parisienne. Un rôle rendu culte par Jack Nicholson Le futur metteur en scène de la pièce, Philippe Hersen, l’a confirmé sur sa page Facebook, se réjouissant de la pugnacité de l’ancien patron de l’OM. On voyait d’ailleurs les deux hommes ensemble au côté de Mathieu Tordjman, qui adaptera la pièce, dans une photo qui a depuis été passée en privé. “Vol au-dessus d’un nid de coucou” est une œuvre majeure de la culture américaine. Au départ roman signé Ken Kesey, elle a été adaptée à de nombreuses reprises notamment au à Broadway, mais surtout au cinéma avec le film de Milos Forman et l’interprétation culte de Jack Nicholson. C’est d’ailleurs le rôle de l’acteur américain que Bernard Tapie souhaite reprendre, celui, principal, de McMurphy, un criminel qui se fait interner pour échapper à la prison et qui finit par tomber sous le charme des patients qu’il côtoie, au point de les défendre face à une infirmière terrible. Un coup d’éclat “pour tous ceux qui ont le cancer” Le futur metteur en scène de la pièce avec Bernard Tapie, Philippe Hersen, a confirmé au Parisien que les deux hommes travaillaient depuis quelques temps déjà sur ce projet. “Il était en forme, il nous a joué des scènes de McMurphy avec une telle énergie, il est impressionnant” a-t-il confié au sujet de son comédien, qu’il décrit comme ayant toujours une “force mentale hallucinante”. “C’est un battant, il se bat comme un lion, c’est tellement important pour lui, c’est son seul objectif”, continue Philippe Hersen. Selon lui, à l’image de Johnny Hallyday qui s’était offert une dernière tournée avant de partir, Bernard Tapie souhaite lui aussi avoir droit à ce coup d’éclat en dépit de la maladie. Alors que trois salles parisiennes ont été contactées pour que le spectacle puisse se monter, il est d’ores et déjà prévu que Bernard Tapie joue 25 fois au maximum à Paris, à raison de quatre à cinq représentations par semaine. Et si la santé tient, il pense déjà à une petite tournée en province à l’automne prochain. “Il fera tout pour, il se bat aussi pour tous ceux qui ont un cancer.” À voir également sur le HuffPost Bernard Tapie quitte précipitamment le studio d’Europe 1 après des questions sur son ancien bras droit Publié le 26/09/2017 à 1445 , mis à jour le 15/02/2022 à 1629 La troupe du Grenier de Toulouse revient avec la pièce "Vol au-dessus d'un nid de coucou", mise en scène par Stéphane Batlle d'après le roman de Ken Kesey, après son succès durant la saison précédente. La Dépêche du Midi vous propose de gagner des places pour ce spectacle. Pour cela, il vous suffit de jouer à notre jeu à tirage au sort, entre le 27 septembre et le 1er octobre. ​ Bonne chance ! Autopsie d’une société souffrante ©François Laplante Delagrave Par Marie-Claude Lessard D’abord un roman de Ken Kesey paru en 1962, puis une pièce de théâtre de Dale Wasserman montée un an plus tard et finalement un long-métrage culte de Milos Forman, lauréat de l’Oscar du meilleur film en 1976, Vol au-dessus d’un nid de coucou, avec ses troublantes observations sur une société obsédée par la catégorisation de ses habitants, continue d’être une oeuvre marquante et pertinente encore aujourd’hui. C’est ce que la relecture de cette création par le Théâtre du Rideau Vert nous permet de constater, bien qu’elle s’avère imparfaite et légèrement décevante. En pleine époque où la lobotomie et les électrochocs constituent la solution pour enrayer les maux d’ordre psychologique, l’escroc Randall McMurphy Mathieu Quesnel feint la folie afin d’éviter la prison, pensant naïvement qu’il ne finira pas comme ses nouveaux locataires. Celui qui adore défier l’autorité se retrouve donc dans l’aile psychiatrique d’un hôpital contrôlé d’une main de fer par Mme Ratched Julie Le Breton, une garde d’une douce beauté terriblement trompeuse. ©François Laplante Delagrave Fenêtres barricadées. Uniformes d’un blanc immaculé. Murs délabrés faits de béton et de céramique bleu pastel. Pas de doute, le décor signé Olivier Landreville nous plonge instantanément dans un centre de santé des années 60 en cruel manque de ressources. Il crée à lui seul un climat inquiétant et oppressant. Malheureusement, les changements apportés au texte par Michel Monty, qui propose volontairement? une mise en scène froide et sans éclat, ne maintiennent pas les tensions conflictuelles entre les intervenants et les patients. L’oeuvre de Kesey soulève de nombreuses interrogations sur le sens véritable du mot malade ». Et si c’est la société, avec sa volonté malsaine de conformisme, qui rend les êtres psychologiquement instables? À trop vouloir restreindre la liberté, est-ce que ce sont les médecins et les gardes qui causent les troubles? Cette dualité, palpable dans toutes les répliques de la pièce, ne se reflète pas dans l’énergie de la plupart des comédiens. Il faut dire que les ruptures de ton et de langage ne les aident pas à demeurer investis et font tomber à plat des scènes pivots comme le party interdit et la finale. Ceci dit, certains parviennent à se démarquer positivement. Maîtrisant le bégaiement, Renaud Lacelle-Bourdon ne laisse pas cette caractéristique venir faire obstacle à son jeu et aux intentions émotives qu’il doit délivrer. Il campe avec crédibilité l’impossible quête d’émancipation de Billy, ce personnage injustement prisonnier par la peur du monde extérieur alimentée par sa mère et les interventions faussement maternelles de Ratched. De son côté, Stéphane Demers incarne à la perfection les gestes maniérés de cet attachant Harding aux prises avec des questionnements sur son orientation sexuelle. Dans le rôle du Chef Bromden, Jacques Newashish offre une interprétation touchante, spécialement lorsqu’il livre des chants autochtones. Mathieu Quesnel traduit le dynamisme et la fougue de McMurphy en courant d’un bout à l’autre de la scène, en parlant et en riant fort, mais l’émotion n’y est pas. On ne voit que du cabotinage. Julie Le Breton insuffle à sa garde un instinct protecteur qui ne colle pas à l’image aveuglément stricte du personnage. Cette infirmière agit aussi méchamment en pensant véritablement poser les bonnes décisions pour le bien-être de ses patients. ©François Laplante Delagrave Intérieurement, elle n’est pas aussi cruelle, mais les spectateurs ne peuvent en aucun cas percevoir cette humanité à travers la façade rigide, sans quoi la relation de pouvoir entre McMurphy et Ratched ne fonctionne pas, et c’est exactement le cas ici. Grande et sublime actrice, Le Breton rend efficacement les pertes de contrôle et la peur. Seulement, il ne fallait pas que ce personnage les laisse paraître. Elle doit plutôt uniquement dévoiler une retenue dissimulant une rage sur le point d’exploser qui donne froid dans le dos. Vol au-dessus d’un nid de coucou est à l’affiche au Théâtre du Rideau Vert jusqu’au 23 avril 2017. Texte révisé par Annie Simard PHOTO FRANÇOIS LAPLANTE DELAGRAVE, FOURNIE PAR LE RIDEAU VERT Mathieu Quesnel parvient à faire oublier Jack Nicholson dans l'adaptation théâtrale de Vol au-dessus d'un nid de coucou. Michel Monty et sa troupe font rire le public et l'émeuvent avec ce Vol au-dessus d'un nid de coucou où les interprètes portent le message de la différence avec ferveur. On connaît le film de Milos Forman et le récit de Randle McMurphy qui réussit à se faire passer pour psychopathe et interner dans un asile psychiatrique afin d'éviter la prison. Petit malfrat rusé, il entraînera dans sa folie, de contester l'ordre établi, un groupe d'exclus qui souffrent moins de maladies mentales que d'un manque d'estime de soi. McMurphy affronte le cerbère des lieux, garde Ratched, mais c'est lui qui en paiera le prix, comme chacun sait. En tant que joker, cependant, il aura tout de même permis de sortir de leur torpeur des êtres dont la différence n'est toujours pas acceptée en société, quelque part dans les années 60. Toute la pièce se déroule dans la salle commune de l'asile, qui n'est pas sans rappeler celui qu'on nommait Saint-Jean-de-Dieu jusqu'en 1976 devenu aujourd'hui Louis-Hippolyte-Lafontaine. La mise en scène de Michel Monty est bien rythmée, parsemée de moments bien drôles et respecte la ligne dramatique forte et touchante qui permet aux acteurs de donner la pleine mesure des différences somme toute mineures, comme l'homosexualité et le bégaiement, qui les ont poussés à vivre à l'écart du monde. La distribution, dans l'ensemble excellente, met en valeur l'énergie de Mathieu Quesnel McMurphy. Avec sa tête à la Michael Keaton, il nous fait complètement oublier le Jack Nicholson marquant du film. Dans les rôles secondaires, Stéphane Demers Harding et Renaud Lacelle-Bourdon Billy s'imposent et on découvre avec plaisir les talents de Jacques Newashish, Benoit Mauffette et Jean-François Hupé. Dans le rôle principal féminin, Julie Le Breton incarne une garde Ratched assez convaincante, mais la direction semble hésiter entre lui demander d'être une vraie méchante » et une mère convaincue que la loi et l'ordre assureront le bonheur à ses petits oisillons. Ainsi, le duel épique » entre Ratched et McMurphy n'a pas vraiment lieu. Il faut dire que la scène exiguë du Rideau Vert reste un obstacle majeur à l'émergence d'un tel affrontement, malgré un décor et des costumes réussis et l'idée originale d'une scène d'ombres chinoises. Le mot du metteur en scène compare ce drame d'une autre époque, car il faut bien avouer que les temps ont beaucoup changé dans les services sociaux, à celui d'Antigone. C'est un peu tirer par les cheveux de la fille d'OEdipe, même si on se rapproche ici de la version révoltée » d'Anouilh plutôt que de celle purement tragique de Sophocle, alors que le plus beau de ce drame et du spectacle est d'installer un coryphée autochtone et de promouvoir dignement la diversité. C'est déjà beaucoup dans ce monde où l'uniformisation de la pensée se nourrit des homélies simplistes des dieux de l'opinion tout en dénigrant la réflexion et l'analyse de faits vérifiables. ****Vol au-dessus d'un nid de coucou De Dale Wasserman, d'après le roman de Ken Kesey Traduction et mise en scène de Michel Monty Au Rideau Vert jusqu'au 23 avril 3 étoiles et demie Si Vol au dessus d'un nid de coucou est une histoire purement inventée par Ken Kesey, l'auteur du roman, c'est indéniablement le film sorti en salle en 1975, réalisé par Milos Forman, qui lui donne ses titres de noblesse. Pendant les Oscars du cinéma de l'année 1976, Vol au dessus d'un nid de coucou rafle tout meilleur acteur pour Jack Nicholson of course!, meilleure actrice pour Louise Fletcher, meilleur scénario adapté, meilleur réalisateur, et naturellement, meilleur film. Ce film là a fait l'effet d'une bombe, et nos parents s'en souviennent encore c'était fabuleux. Cette sensation bouleversante lors du visionnage de ce chef d'oeuvre plein d'humanité nous a cependant, nous aussi, touché. Nul n'est resté insensible devant cette lutte pour un peu de liberté et d'humanité, dans un hôpital psychiatrique où, en apparence, le calme et le respect règnent. Réelle dénonciation du système hospitalier, comme du système totalitaire en générale en 1962, la référence était évidente, Vol au dessus d'un nid de coucou, par son tragique et sa tendresse, restera pour longtemps, une très grand oeuvre. Ainsi, empressez-vous de réserver vos places pour l'adaptation théâtrale de l'histoire de Randle Patrick McMurphy ou, Jean-Pierre Moulin par la Compagnie Caravane, au Théâtre 13 depuis le 6 mars pratiques Vol au dessus d'un nid de coucou au Théâtre 13Du 6 mars au 15 avril 2012Du mardi au vendredi à 20h30 et le dimanche à de 6€ à 24€

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